Jeff Bezos a donc décidé de mettre un terme à ses critiques non pas en améliorant les conditions de travail mais en incitant les salariés peu contents à quitter l’entreprise. Il a lancé, pour cela, la campagne « Pay to leave », littéralement « payer pour quitter » aux Etats-Unis. Et pour lui, cette campagne fera du bien à la fois à l’entreprise et aux employés.
Car le PDG d’Amazon n’est pas dupe. En incitant les salariés mécontents à partir grâce à de l’argent cash, il va améliorer ses équipes, l’humeur au sein des locaux et également la productivité. Et il fait même une bonne action puisque le salarié mécontent va pouvoir quitter serein l’entreprise avec un petit chèque.
Amazon proposera donc tous les ans un chèque qui, la première année, sera de 2000 dollars. Puis la somme augmentera de 1000 dollars par an pour atteindre un maximum de 5000 dollars. Une campagne lancée aux Etats-Unis que le groupe pourrait, en cas de succès, exporter en Europe.
Toutefois, cette pratique ne manquera pas de soulever des critiques alors que le marché de l’emploi est quelque peu bouché. Même si outre-Atlantique la situation semble s’améliorer, le chômage reste élevé et inciter les employés à partir avec de l’argent pourrait empirer la situation.
Car le PDG d’Amazon n’est pas dupe. En incitant les salariés mécontents à partir grâce à de l’argent cash, il va améliorer ses équipes, l’humeur au sein des locaux et également la productivité. Et il fait même une bonne action puisque le salarié mécontent va pouvoir quitter serein l’entreprise avec un petit chèque.
Amazon proposera donc tous les ans un chèque qui, la première année, sera de 2000 dollars. Puis la somme augmentera de 1000 dollars par an pour atteindre un maximum de 5000 dollars. Une campagne lancée aux Etats-Unis que le groupe pourrait, en cas de succès, exporter en Europe.
Toutefois, cette pratique ne manquera pas de soulever des critiques alors que le marché de l’emploi est quelque peu bouché. Même si outre-Atlantique la situation semble s’améliorer, le chômage reste élevé et inciter les employés à partir avec de l’argent pourrait empirer la situation.