Cette année durant le Paris Air Show, c'est Boeing qui a ravi la vedette à Airbus. Le constructeur américain a en effet annoncé 571 prises de commandes et intentions d'achat, contre 361 « seulement » pour le spécialiste européen. La valeur des contrats engrangés par Boeing est de 74,8 milliards de dollars, alors qu'Airbus doit se contenter de 39 milliards, étant entendu qu'il s'agit de prix « catalogue » ; il est probable que les sommes soient moins élevées.
Airbus a joué la carte des commandes fermes, ce qui rapproche les deux entreprises : 130 pour le groupe européen, contre 150 pour son rival américain. Peu importe le bout de la lorgnette que l'on prend, c'est toujours Boeing qui remporte la partie ! De plus, ce mode de calcul arrange bien les affaires d'Airbus, qui n'hésitait pas à cumuler prises de commandes et intentions d'achat durant les précédentes éditions du salon du Bourget pour s'attribuer la première place…
Il est vrai cependant que Boeing a eu le nez creux en lançant, durant le salon, son nouveau B737 MAX-10, qui a remporté un franc succès auprès des clients présents : au total, le constructeur a enregistré 361 commandes pour cet appareil (214 sont des conversions de commandes). Le marché était moins dynamique que durant les précédents salons, le prix en baisse du baril de pétrole poussant les compagnies aériennes à décaler leurs commandes.
Airbus a joué la carte des commandes fermes, ce qui rapproche les deux entreprises : 130 pour le groupe européen, contre 150 pour son rival américain. Peu importe le bout de la lorgnette que l'on prend, c'est toujours Boeing qui remporte la partie ! De plus, ce mode de calcul arrange bien les affaires d'Airbus, qui n'hésitait pas à cumuler prises de commandes et intentions d'achat durant les précédentes éditions du salon du Bourget pour s'attribuer la première place…
Il est vrai cependant que Boeing a eu le nez creux en lançant, durant le salon, son nouveau B737 MAX-10, qui a remporté un franc succès auprès des clients présents : au total, le constructeur a enregistré 361 commandes pour cet appareil (214 sont des conversions de commandes). Le marché était moins dynamique que durant les précédents salons, le prix en baisse du baril de pétrole poussant les compagnies aériennes à décaler leurs commandes.