Carlos Ghosn conserve les rênes de l'alliance Renault-Nissan, et il reste aussi PDG de Renault. Sans oublier la prise de contrôle l'an dernier de Mitsubishi : le grand patron français a donc du pain sur la planche, mais Nissan fonctionne aujourd'hui sans aucun heurts. Ce n'était pas le cas il y a 18 ans, lorsque Renault a pris Nissan sous son aile. Carlos Ghosn a su redresser le constructeur automobile japonais, redevenu une entreprise rentable.
Son successeur à la tête de Nissan a été embauché dans le groupe japonais il y a quarante ans. Hiroto Saikawa connait les moindres rouages de Nissan et ironiquement, il est âgé de 63 ans… un an de plus que son prédécesseur ! Carlos Ghosn entend lui se consacrer au redressement de Mitsubishi, qui est dans une mauvaise passe.
Le patron de Renault-Nissan n'a pas indiqué s'il souhaitait passer la main en douceur au sein de la direction de Renault, où son poste arrivera à échéance l'année prochaine. Au contraire de chez Nissan, où Hiroto Saikawa a été préparé à son nouveau poste pendant des années, il n'existe aucun numéro deux à Paris. Il est possible que Carlos Ghosn veuille préparer, dans les mois qui viennent, un successeur à la tête de la partie française de l'alliance.
Son successeur à la tête de Nissan a été embauché dans le groupe japonais il y a quarante ans. Hiroto Saikawa connait les moindres rouages de Nissan et ironiquement, il est âgé de 63 ans… un an de plus que son prédécesseur ! Carlos Ghosn entend lui se consacrer au redressement de Mitsubishi, qui est dans une mauvaise passe.
Le patron de Renault-Nissan n'a pas indiqué s'il souhaitait passer la main en douceur au sein de la direction de Renault, où son poste arrivera à échéance l'année prochaine. Au contraire de chez Nissan, où Hiroto Saikawa a été préparé à son nouveau poste pendant des années, il n'existe aucun numéro deux à Paris. Il est possible que Carlos Ghosn veuille préparer, dans les mois qui viennent, un successeur à la tête de la partie française de l'alliance.