La facture de rattrapage pour EDF, qui concerne 28 millions de foyers en France soit ceux soumis aux tarifs réglementés fixés par la CRE, risque d'être plus élevée que prévu. Ségolène Royal avait, à la suite de la décision du Conseil d'Etat, annoncé un rattrapage pour un montant global de 750 millions d'euros qui se serait répercuté sur les factures d'électricité des Français.
La hausse, qui devrait survenir en septembre 2016, était selon la ministre de l'Ecologie, de 1,50 euro par mois pendant 18 mois. Au total, les ménages auraient donc dû payer environ 30 euros de plus. Mais il semblerait que la somme finale sera bien plus élevée.
Une source anonyme présente au salon du nucléaire au Bourget a déclaré à la presse que la somme que doit récupérer EDF est bien supérieure à 750 millions d'euros. Elle serait même supérieure au milliard d'euros ce qui va, de fait, augmenter les sommes que les Français devront payer chaque mois. Ces sommes pourraient être doublées.
Selon cette source, en effet, ce seraient 3 euros par mois et non 1,5 euro que les Français verront être ajoutés à leur facture pendant 18 mois. La somme total avoisinerait donc les 55 euros et non les 30 euros comme le prétendait Ségolène Royal.
La hausse, qui devrait survenir en septembre 2016, était selon la ministre de l'Ecologie, de 1,50 euro par mois pendant 18 mois. Au total, les ménages auraient donc dû payer environ 30 euros de plus. Mais il semblerait que la somme finale sera bien plus élevée.
Une source anonyme présente au salon du nucléaire au Bourget a déclaré à la presse que la somme que doit récupérer EDF est bien supérieure à 750 millions d'euros. Elle serait même supérieure au milliard d'euros ce qui va, de fait, augmenter les sommes que les Français devront payer chaque mois. Ces sommes pourraient être doublées.
Selon cette source, en effet, ce seraient 3 euros par mois et non 1,5 euro que les Français verront être ajoutés à leur facture pendant 18 mois. La somme total avoisinerait donc les 55 euros et non les 30 euros comme le prétendait Ségolène Royal.