Le secteur aérien est un de ceux qui a été le plus frappé par la crise sanitaire, et le rétablissement d'une activité normale va demander plusieurs années. Une catastrophe économique… Mais aussi des opportunités, selon le patron d'Air France-KLM.
Pour sa première présentation officielle des résultats semestriels et trimestriels depuis son introduction en Bourse, qui a été un grand succès, en 2019, le pétrolier Saudi Aramco aurait sans doute préféré afficher des bons chiffres. Malheureusement, comme tout le secteur, il a largement souffert de la crise du coronavirus et des prix du pétrole bas.
Heureusement, Uber peut compter sur la livraison de repas pour compenser un peu les lourdes pertes subies par son activité principale de trajets avec chauffeur. L'entreprise attendra 2021 pour afficher des profits.
Les Soldes d’été 2020, dont la date a été repoussée à cause de la crise sanitaire du coronavirus et le confinement généralisé de la population, n’ont, sans surprise, pas été bons. Alors qu’ils se terminent officiellement le 11 août 2020, la chambre de commerce et d’industrie d’Île-de-France (CCI) dresse un très mauvais bilan de cette période de promotions attendue par les commerçants.
250.000 euros d’amende et une exigence de mise en conformité sous astreinte de 250 euros par jour, c’est la lourde sanction qui a frappé la boutique de commerce en ligne Spartoo.
Amazon France va faire un geste envers ses salariés : une prime qui sera comprise entre 500 et 1.000 euros. Sont concernés les employés ayant travaillé dans les entrepôts durant la crise sanitaire, et les livreurs partenaires.
Coup dur pour SoLocal (ex Pages Jaunes) et surtout, pour les salariés de l’entreprise : suite à des erreurs informatiques, certains d’entre eux devront rembourser des trop-perçus pouvant aller jusqu’à 8.000 euros !
Chiffre d’affaires divisé par deux, pertes nettes : le premier semestre a été très difficile pour le groupe Accor, qui a subi de plein fouet la crise sanitaire.
Pour soutenir les entreprises et les travailleurs indépendants durant le confinement, le gouvernement a autorisé le report du paiement des cotisations sociales et patronales. L'Urssaf a fait les comptes.
Une nouvelle étape de développement est engagée pour Norsilk depuis son rachat en 2015 par la société d’investissement industriel Mutares.
Devenu un véritable phénomène social mondial, notamment grâce au confinement généralisé de la population, le réseau social spécialisé dans les vidéos de courte durée TikTok est la cible de critiques et de mesures d’interdiction. Aux États-Unis, le Président Donald Trump a menacé de bannir TikTok du territoire américain pour des raisons de sécurité, mais Microsoft semble avoir une autre solution.
Le marché français de l'automobile s'est redressé au mois de juillet. Pas de quoi rattraper les six premiers mois de l'année, marquée par une chute brutale des immatriculations de voitures neuves.
Le feu vert de la Commission européenne était attendu avec impatience et une certaine angoisse par Alstom. Bruxelles a finalement autorisé l'acquisition de la branche transports de Bombardier.
Renault a subi une perte historique au premier semestre. Une situation « sans précédent », selon Luca de Meo, le nouveau directeur général, dont la tâche s'annonce immense.
C’est l’heure des comptes pour la SNCF, qui a annoncé que ses résultats du premier semestre avaient été fortement impactés par le coronavirus.
Boeing va réduire ses capacités de production et pourrait encore supprimer des emplois pour tenir le choc durant la crise économique post-coronavirus.
Le groupe PSA est parvenu à tirer son épingle du jeu au premier semestre, malgré le coronavirus et la paralysie de l'économie en France et en Europe.
L'enseigne de chaussures André est sauvée, mais les prochains mois risquent d'être difficiles. 221 emplois sont sauvés, mais 188 salariés vont être licenciés.
C'est tout simplement le trimestre « le plus difficile » jamais enregistré par Ryanair. La compagnie aérienne à bas coût a subi de lourdes pertes au second trimestre.
Le démarchage téléphonique est désormais beaucoup plus encadré. Les entreprises indélicates encourent maintenant une amende administrative pouvant aller jusqu'à 375.000 euros.