Or, la qualité des connexions mobiles en Inde, en Asie du sud-est ou encore en Afrique n'a pas grand chose à voir avec ce que connaissent les utilisateurs de Facebook en Europe ou aux États-Unis. De plus, pour la plupart de ces potentiels abonnés, le smartphone possédé est un modèle sous Android, à la puissance moindre que les haut de gamme dont nous bénéficions.
Il s'agit, pour les ingénieurs du réseau social, de mieux saisir les difficultés d'accès à Facebook pour ces utilisateurs. C'es pourquoi le groupe a mis au point deux initiatives : la première est singulière, puisqu'elle invite les employés qui le souhaitent à surfer en 2G le mardi matin. Le but : se rendre compte de la lenteur des services de Facebook, et ainsi optimiser les fonctions qui le nécessitent.
Facebook conseille également à ses ingénieurs d'utiliser un téléphone Android plutôt qu'un iPhone, le smartphone de prédilection dans la Silicon Valley. Ils pourront ainsi mieux se familiariser avec les fonctions utilisées chaque jour par une bonne partie du monde.
Il s'agit, pour les ingénieurs du réseau social, de mieux saisir les difficultés d'accès à Facebook pour ces utilisateurs. C'es pourquoi le groupe a mis au point deux initiatives : la première est singulière, puisqu'elle invite les employés qui le souhaitent à surfer en 2G le mardi matin. Le but : se rendre compte de la lenteur des services de Facebook, et ainsi optimiser les fonctions qui le nécessitent.
Facebook conseille également à ses ingénieurs d'utiliser un téléphone Android plutôt qu'un iPhone, le smartphone de prédilection dans la Silicon Valley. Ils pourront ainsi mieux se familiariser avec les fonctions utilisées chaque jour par une bonne partie du monde.