La hausse s'accélère même, puisque fin juillet, les prix avaient augmenté de 1,2% par rapport à l'an dernier. Parmi les arrondissements qui ont connu les plus fortes progressions, les 10e et 19e sortent nettement du lot avec une hausse des prix moyens dans l'ancien de respectivement 4,8% et 4,4% sur l'année.
Néanmoins, les hausses de prix dans l'immobilier dans la capitale ne sont pas une fatalité. Rappelons en effet qu'au troisième trimestre dernier, ils avaient même connu un recul de 1,5% au mètre carré, par rapport au même trimestre de l'année précédente. À l'époque, les prix dans les IIIe et IVe arrondissements avaient connu de forts replis.
SeLoger donne une statistique qui frappe l'imaginaire : sur les vingt dernières années, la hausse des prix des logements à Paris intra-muros s'établit à 220% ! C'est bien plus que l'inflation, et cela montre que malgré les crises à répétition, l'immobilier parisien reste une valeur sûre. Et il y a fort à parier que grâce aux taux d'emprunt toujours très bas, les prix dans l'ancien vont continuer à augmenter : plus il y a d'acheteurs, plus les prix ont tendance à progresser.
Néanmoins, les hausses de prix dans l'immobilier dans la capitale ne sont pas une fatalité. Rappelons en effet qu'au troisième trimestre dernier, ils avaient même connu un recul de 1,5% au mètre carré, par rapport au même trimestre de l'année précédente. À l'époque, les prix dans les IIIe et IVe arrondissements avaient connu de forts replis.
SeLoger donne une statistique qui frappe l'imaginaire : sur les vingt dernières années, la hausse des prix des logements à Paris intra-muros s'établit à 220% ! C'est bien plus que l'inflation, et cela montre que malgré les crises à répétition, l'immobilier parisien reste une valeur sûre. Et il y a fort à parier que grâce aux taux d'emprunt toujours très bas, les prix dans l'ancien vont continuer à augmenter : plus il y a d'acheteurs, plus les prix ont tendance à progresser.