Airbus a de gros projets en Iran. L’avionneur européen est en discussion avec la compagnie aérienne Iran Air pour un contrat portant sur 106 avions. Airbus a bien voulu confirmer le feu vert américaine, mais pas le nombre d’avions. L’entreprise, dont moins de 10% des composants des produits concernés proviennent des états-Unis, est en effet dans l’obligation d’obtenir une licence de Washington.
Boeing a également des projets pour l’Iran, depuis la levée des sanctions internationales suite à l’accord international signé en 2015 concernant le nucléaire iranien. Or, cette levée des embargos — en particulier ceux touchant l’aviation civile — pourrait être remis en cause par la future administration Trump.
Le président-élu a affirmé à plusieurs reprises qu’il entendait remettre en cause l’accord iranien, entrainant potentiellement l’arrêt du contrat avec Iran Air. Ce serait un coup dur pour Airbus : l’État iranien avait fait miroiter une commande de 118 avions pour un montant pouvant aller jusqu’à 27 milliards de dollars.
Boeing a également des projets pour l’Iran, depuis la levée des sanctions internationales suite à l’accord international signé en 2015 concernant le nucléaire iranien. Or, cette levée des embargos — en particulier ceux touchant l’aviation civile — pourrait être remis en cause par la future administration Trump.
Le président-élu a affirmé à plusieurs reprises qu’il entendait remettre en cause l’accord iranien, entrainant potentiellement l’arrêt du contrat avec Iran Air. Ce serait un coup dur pour Airbus : l’État iranien avait fait miroiter une commande de 118 avions pour un montant pouvant aller jusqu’à 27 milliards de dollars.