Les deux opérateurs n’ont pas tenu leurs promesses de couverture des zones à faible population. Il est pourtant de leur devoir de respecter ces engagements sur lesquels l’Arcep veille tout spécialement en vertu de l’aménagement du territoire. En 2003, les pouvoirs publics ont engagé un programme afin de couvrir ce qu’il est convenu d’appeler des "zones blanches" sur tout le territoire.
L’État a donc exigé des opérateurs qu’ils investissent aussi dans ces zones faiblement peuplées. Ils se doivent d’offrir à cette population une couverture de base, en particulier au niveau des centres des bourgs (3 800 en tout). Orange est trop court de 5 de ces bourgs, un chiffre qui grimpe à 47 pour SFR.
Parmi les deux coupables, c’est SFR qui paie le plus cher : l’amende se monte à 380 000 euros. Orange écope d’une peine plus légère puisqu’elle se monte à 27 000 euros seulement. Il n’empêche : ces deux-là sont bel et bien coupables de non respect de leurs engagements. Si les sommes ne sont pas si élevées, l’image de marque des deux entreprises est dégradée. Néanmoins, les deux entreprises ont depuis comblé leurs dernières zones blanches.
L’État a donc exigé des opérateurs qu’ils investissent aussi dans ces zones faiblement peuplées. Ils se doivent d’offrir à cette population une couverture de base, en particulier au niveau des centres des bourgs (3 800 en tout). Orange est trop court de 5 de ces bourgs, un chiffre qui grimpe à 47 pour SFR.
Parmi les deux coupables, c’est SFR qui paie le plus cher : l’amende se monte à 380 000 euros. Orange écope d’une peine plus légère puisqu’elle se monte à 27 000 euros seulement. Il n’empêche : ces deux-là sont bel et bien coupables de non respect de leurs engagements. Si les sommes ne sont pas si élevées, l’image de marque des deux entreprises est dégradée. Néanmoins, les deux entreprises ont depuis comblé leurs dernières zones blanches.