Les services de la commissaire à la concurrence, la pugnace Margrethe Vestager, s'apprêtent à diffuser la « communication des griefs », c'est à dire les reproches nourris par la Commission contre Google. Cette communication ouvre une nouvelle séquence entre les deux parties : maintenant que Google connait l'acte d'accusation, la société va pouvoir bâtir sa défense.
La Commission statuera ensuite et décidera, s'il le faut, d'une sanction. Et si jamais l'Europe juge que Google a été pris à tricher, l'amende pourrait être salée : 10% du chiffre d'affaires annuel de l'entreprise, ce qui représente 7,5 milliards de dollars ! Du jamais vu.
Margrethe Vestager et ses services reprochent notamment à Google d'avoir barré la route d'Android à des services concurrents de ceux du moteur de recherche. La commissaire n'a rien contre l'innovation bien au contraire, mais elle estime que l'entreprise doit se plier aux mêmes règles que tous, sans abuser de sa puissance.
La Commission statuera ensuite et décidera, s'il le faut, d'une sanction. Et si jamais l'Europe juge que Google a été pris à tricher, l'amende pourrait être salée : 10% du chiffre d'affaires annuel de l'entreprise, ce qui représente 7,5 milliards de dollars ! Du jamais vu.
Margrethe Vestager et ses services reprochent notamment à Google d'avoir barré la route d'Android à des services concurrents de ceux du moteur de recherche. La commissaire n'a rien contre l'innovation bien au contraire, mais elle estime que l'entreprise doit se plier aux mêmes règles que tous, sans abuser de sa puissance.