Actuellement, la SNCF ne dédommage les voyageurs que si le retard lui est directement imputable. Les cas liés à la météo ou les actes de malveillance n’ouvraient droit à aucune indemnisation. Ils représentent pourtant un tiers des retards, explique à l’AFP Rachel Picard, directrice de Voyages SNCF, qui précise que l’entreprise a voulu faire de cette garantie la meilleure en Europe.
Cette règle a au moins le mérite de la simplicité. Elle va aussi plus loin que la réglementation européenne, qui exige une indemnisation au delà d’une heure : la SNCF réduit ce délai à 30 minutes. C’est « une avancée sensible pour les voyageurs » qui va pouvoir être utilisée par 50% de clients en plus, souligne encore l’entreprise.
La SNCF proposera une indemnisation équivalent à 25% du prix du billet en cas de retard de 30 mn à 2 heures, de 50% entre 2 et 3 heures, et 75% au delà. Dans la pratique, le client devra demander le dédommagement en ligne dès l’arrivée du train. Il obtiendra un bon d’achat dans les 48 heures à consommer en plusieurs fois au besoin.
Cette règle a au moins le mérite de la simplicité. Elle va aussi plus loin que la réglementation européenne, qui exige une indemnisation au delà d’une heure : la SNCF réduit ce délai à 30 minutes. C’est « une avancée sensible pour les voyageurs » qui va pouvoir être utilisée par 50% de clients en plus, souligne encore l’entreprise.
La SNCF proposera une indemnisation équivalent à 25% du prix du billet en cas de retard de 30 mn à 2 heures, de 50% entre 2 et 3 heures, et 75% au delà. Dans la pratique, le client devra demander le dédommagement en ligne dès l’arrivée du train. Il obtiendra un bon d’achat dans les 48 heures à consommer en plusieurs fois au besoin.