Sans attendre de prendre le poste de PDG, Jean-Marc Janaillac a décidé de rencontrer les trois syndicats de pilotes qui ont appelé à la grève à partir du 24 juin (elle devrait durer jusqu'au 27 juin). Le SNPL, le Spaf et l'Alter souhaitaient voir le futur patron de la compagnie aérienne, et ce dernier a accédé à cette demande.
Un geste d'apaisement dans un conflit qui dure depuis le début de l'Euro. D'après Le Figaro, le dirigeant a demandé du temps aux pilotes afin qu'il puisse mettre sur pied une stratégie pour l'entreprise qui entendrait les besoins des salariés ; il s'agit aussi pour le futur PDG de tisser des liens avec les différentes catégories de personnels de l'entreprise.
Jean-Marc Janaillac a bien l'intention de mettre en place un « nouveau contrat social » avec les pilotes, mais pour ce faire, il a besoin de temps : quatre mois à partir de sa prise de fonction, qui lui servira à écouter les salariés dans un climat apaisé. Quant à la grève du 24 juin, elle pourrait être levé : le PDG a décidé de lever les mesures destinées aux pilotes entrées en vigueur le 1er juin, et qui réduisaient leurs rémunérations.
Un geste d'apaisement dans un conflit qui dure depuis le début de l'Euro. D'après Le Figaro, le dirigeant a demandé du temps aux pilotes afin qu'il puisse mettre sur pied une stratégie pour l'entreprise qui entendrait les besoins des salariés ; il s'agit aussi pour le futur PDG de tisser des liens avec les différentes catégories de personnels de l'entreprise.
Jean-Marc Janaillac a bien l'intention de mettre en place un « nouveau contrat social » avec les pilotes, mais pour ce faire, il a besoin de temps : quatre mois à partir de sa prise de fonction, qui lui servira à écouter les salariés dans un climat apaisé. Quant à la grève du 24 juin, elle pourrait être levé : le PDG a décidé de lever les mesures destinées aux pilotes entrées en vigueur le 1er juin, et qui réduisaient leurs rémunérations.