Le rapport de le SNB, deuxième organisation syndicale du secteur, rappelle les 20 000 suppressions d’emplois dans la banque depuis septembre 2016 en Europe. Depuis 2008 et le début de la crise, les établissements financiers et bancaires ont perdu 600 000 emplois dans le monde. Et la saignée est loin d’être terminée, puisque des plans sociaux et des plans de départs volontaires sont prévus.
Natixis va ainsi supprimer 600 postes d’informaticiens, HSBC France 479 emplois, la Société Générale et BNP Paribas prévoient également des réductions d’effectifs. Le SNB évoque aussi ces éléments, conjoncturels comme structurels, qui font craindre une intensification brutale de la diminution des effectifs dans les banques françaises.
Une manière d’interpeler les pouvoirs publics : le syndicat demande un effort accru sur la formation professionnelle, et des négociations pour accroitre la mobilité afin d’adapter et redimensionner les réseaux d’agences. Parmi les défis auxquels fait face le secteur bancaire, on compte la numérisation grandissante et, sur le plus long terme, le déploiement de l’intelligence artificielle qui va réduire les besoins en employés humains.
Natixis va ainsi supprimer 600 postes d’informaticiens, HSBC France 479 emplois, la Société Générale et BNP Paribas prévoient également des réductions d’effectifs. Le SNB évoque aussi ces éléments, conjoncturels comme structurels, qui font craindre une intensification brutale de la diminution des effectifs dans les banques françaises.
Une manière d’interpeler les pouvoirs publics : le syndicat demande un effort accru sur la formation professionnelle, et des négociations pour accroitre la mobilité afin d’adapter et redimensionner les réseaux d’agences. Parmi les défis auxquels fait face le secteur bancaire, on compte la numérisation grandissante et, sur le plus long terme, le déploiement de l’intelligence artificielle qui va réduire les besoins en employés humains.
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