Mais il n’y a pas une raison en particulier qui expliquerait cette soudaine poussée de fièvre. Il s’agit plutôt d’un cocktail de mauvais chiffres et une situation économique mondiale inquiétante qui préoccupent les investisseurs. Le CAC 40 trébuche de 3,78%, en Italie le FTSE perd près de 5%, l’Ibex 35 espagnol cède 3,9%, tandis que l’ouverture de Wall Street ne présage rien de bon avec une perte de 1,6%.
Parmi les raisons pour lesquelles les Bourses broient du noir, on trouve évidemment la situation en Asie et plus spécialement en Chine, dont le ralentissement est plus long et plus douloureux que jamais… et surtout, qui a un impact sur les économies occidentales. La place de Hong Kong cède d’ailleurs 3,85%… Janet Yellen, la Présidente de la Réserve fédérale américaine, a fait preuve d’une grande prudence durant son discours sur les perspectives économiques mondiales.
Il y a également le prix du baril. Certes, un pétrole bon marché est une bonne nouvelle pour les consommateurs, mais cela ralentit l’inflation comme on peut le constater en Europe, par exemple. Sans oublier l’impact sur les économies des pays producteurs de pétrole. Le baril était fixé à 27$ suite à une baisse de plus de 3%. Cette conjoncture pourrait bien perdurer, au grand dam des boursicoteurs.
Parmi les raisons pour lesquelles les Bourses broient du noir, on trouve évidemment la situation en Asie et plus spécialement en Chine, dont le ralentissement est plus long et plus douloureux que jamais… et surtout, qui a un impact sur les économies occidentales. La place de Hong Kong cède d’ailleurs 3,85%… Janet Yellen, la Présidente de la Réserve fédérale américaine, a fait preuve d’une grande prudence durant son discours sur les perspectives économiques mondiales.
Il y a également le prix du baril. Certes, un pétrole bon marché est une bonne nouvelle pour les consommateurs, mais cela ralentit l’inflation comme on peut le constater en Europe, par exemple. Sans oublier l’impact sur les économies des pays producteurs de pétrole. Le baril était fixé à 27$ suite à une baisse de plus de 3%. Cette conjoncture pourrait bien perdurer, au grand dam des boursicoteurs.