La bonne nouvelle, c'est que l'Unedic estime à 124 000 le nombre de chômeurs en moins pour 2016. Le taux de chômage en métropole s'établirait en fin d'année à 9,4%, contre 9,6% actuellement. De fait, depuis le début de l'année, la catégorie A a déjà fondu de 74 000 personnes.
Mais la mauvaise nouvelle, c'est que le taux de chômage devrait ensuite remonter : de 9,4% fin 2016, il passerait à 9,5% l'année suivante. Cela représente 79 000 personnes supplémentaires, prévoit l'organisme de gestion de l'assurance chômage. Et les perspectives ne sont guère réjouissantes, puisque la France stagnerait à 9,5% tout au long de 2018 et pire encore, atteindrait 9,6% fin 2019.
Sur quoi se basent ces prédictions décidément bien pessimistes ? L'Unedic avance deux raisons : un ralentissement de la croissance lié au Brexit. Les incertitudes restent en effet nombreuses, et la Grande-Bretagne n'a toujours pas signifié formellement sa volonté de quitter l'Union européenne. Et puis il y a les politiques publiques de l'emploi dont les effets ne seront plus suffisants pour contenir la hausse de la population active.
Mais la mauvaise nouvelle, c'est que le taux de chômage devrait ensuite remonter : de 9,4% fin 2016, il passerait à 9,5% l'année suivante. Cela représente 79 000 personnes supplémentaires, prévoit l'organisme de gestion de l'assurance chômage. Et les perspectives ne sont guère réjouissantes, puisque la France stagnerait à 9,5% tout au long de 2018 et pire encore, atteindrait 9,6% fin 2019.
Sur quoi se basent ces prédictions décidément bien pessimistes ? L'Unedic avance deux raisons : un ralentissement de la croissance lié au Brexit. Les incertitudes restent en effet nombreuses, et la Grande-Bretagne n'a toujours pas signifié formellement sa volonté de quitter l'Union européenne. Et puis il y a les politiques publiques de l'emploi dont les effets ne seront plus suffisants pour contenir la hausse de la population active.