Le chef d’entreprise a en effet décidé de partir en retraite. L’usage veut habituellement que le créateur d’une société tente de la revendre à un repreneur. Vu la santé de la Générale, qui possède plusieurs agences dans l’ouest de la France et qui emploie 40 personnes, Eric Delile aurait pu engranger beaucoup d’argent.
Mais le patron a décidé de mettre en place un montage financier permettant à cinq de ses cadres de reprendre l’affaire. L’important, pour le fondateur de l’entreprise, est d’assurer l’emploi de ses salariés : une vente à un concurrent, par exemple, aurait pu avoir des conséquences importantes sur les effectifs… mais aussi sur le compte en banque d’Eric Belile !
Il aurait ainsi pu vendre son entreprise deux fois plus cher, raconte-t-il à France 3, et récupérer pendant sept ans des dividendes de 4 millions d’euros. Mais pour lui, il était naturel que « l'entreprise reste au personnel : on a bâti le projet ensemble. Ce n'est pas une démarche altruiste, c'est un juste retour des choses. Vendre à un groupe, ça signifierait des licenciements ».
Mais le patron a décidé de mettre en place un montage financier permettant à cinq de ses cadres de reprendre l’affaire. L’important, pour le fondateur de l’entreprise, est d’assurer l’emploi de ses salariés : une vente à un concurrent, par exemple, aurait pu avoir des conséquences importantes sur les effectifs… mais aussi sur le compte en banque d’Eric Belile !
Il aurait ainsi pu vendre son entreprise deux fois plus cher, raconte-t-il à France 3, et récupérer pendant sept ans des dividendes de 4 millions d’euros. Mais pour lui, il était naturel que « l'entreprise reste au personnel : on a bâti le projet ensemble. Ce n'est pas une démarche altruiste, c'est un juste retour des choses. Vendre à un groupe, ça signifierait des licenciements ».