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WPP ne peut sans doute pas se plaindre d'être en crise. Le chiffre d'affaires du plus gros groupe de publicité au monde a grossi de 4,6% en un an pour atteindre 16 milliards d'euros. Et de même a fait le bénéfice net qui voit en 2014 une progression à deux chiffres : +12% pour atteindre la somme de 2 milliards d'euros (avant impôt).
Le mois de janvier 2015 a déjà donné la tendance : par rapport à janvier 2014 les ventes ont augmenté de 3,3% et les marges de 0,2% pour atteindre 16,7%. C'est la plus grosse marge du secteur ce qui devrait conforter encore un peu WPP dans son statut de leader de la publicité mondiale. Ce qui permet au groupe de viser une croissance de 3% pour l'année à venir.
La stratégie du groupe pour 2015 reste simple : la société-mère doit rester créative et axée vers les nouveaux business tout en étant à la recherche "d'acquisitions ciblées et stratégiques". Niveau coûts, elle vise une rationalisation permettant de dégager encore plus de marges et mener à bien les manœuvres prévues.
La situation économique mondiale présente toutefois pour le groupe quelques zones d'ombres selon WPP : notamment la fragilité de l'Europe, les conflits au Moyen-Orient, le ralentissement de la croissance dans les nouvelles économies émergentes et le déficit des Etats-Unis qui reste problématique à divers niveaux.
Le mois de janvier 2015 a déjà donné la tendance : par rapport à janvier 2014 les ventes ont augmenté de 3,3% et les marges de 0,2% pour atteindre 16,7%. C'est la plus grosse marge du secteur ce qui devrait conforter encore un peu WPP dans son statut de leader de la publicité mondiale. Ce qui permet au groupe de viser une croissance de 3% pour l'année à venir.
La stratégie du groupe pour 2015 reste simple : la société-mère doit rester créative et axée vers les nouveaux business tout en étant à la recherche "d'acquisitions ciblées et stratégiques". Niveau coûts, elle vise une rationalisation permettant de dégager encore plus de marges et mener à bien les manœuvres prévues.
La situation économique mondiale présente toutefois pour le groupe quelques zones d'ombres selon WPP : notamment la fragilité de l'Europe, les conflits au Moyen-Orient, le ralentissement de la croissance dans les nouvelles économies émergentes et le déficit des Etats-Unis qui reste problématique à divers niveaux.