Les fameux cars « Macron » — car issues de la loi sur la croissance porté par l'alors ministre de l'Économie — desservaient au premier trimestre 204 villes en France, contre 180 à la fin de l'année dernière. Des destinations « montagne » et « littorales » ont été ouvertes en début d'année, explique l'Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (Arafer). Les principales entreprises du secteur ont augmenté le nombre de leurs liaisons : +13% pour la filiale de la SNCF Ouibus, +8% pour l'allemand Flixbus, +3% pour Eurolines.
En tout, l'Arafer a dénombré 1 073 liaisons. C'est 9% de plus qu'à la fin de l'année dernière, où il y en avait 985. Flixbus compte le plus de liaisons avec 721 liaisons commercialisées (67% de la couverture), suivi par Eurolines avec 457 liaisons (43%) et Ouibus (318 liaisons, soit 30% de couverture). En revanche, le nombre de départs quotidiens a été revu à la baisse : 560 au lieu des 724 du quatrième trimestre 2016. Une baisse de 23% qui s'explique par la rationalisation de l'offre des opérateurs.
Car le taux d'occupation reste encore préoccupant. La baisse des départs quotidiens a permis de le ramener à 44%, mais il n'est que de 39,1% si on ne prend pas en compte les passagers sur des trajets internationaux. Il y a toutefois de l'espoir, puisque FLixbus annonce un taux d'occupation de 65%. Autre inquiétude, le prix aux 100 kilomètres qui s'établit à 4,3 euros TTC. Il recule de 8,5% par rapport à fin 2016. En revanche, il est en progression de 30% par rapport au trimestre de référence 2016, souligne le régulateur.
En tout, l'Arafer a dénombré 1 073 liaisons. C'est 9% de plus qu'à la fin de l'année dernière, où il y en avait 985. Flixbus compte le plus de liaisons avec 721 liaisons commercialisées (67% de la couverture), suivi par Eurolines avec 457 liaisons (43%) et Ouibus (318 liaisons, soit 30% de couverture). En revanche, le nombre de départs quotidiens a été revu à la baisse : 560 au lieu des 724 du quatrième trimestre 2016. Une baisse de 23% qui s'explique par la rationalisation de l'offre des opérateurs.
Car le taux d'occupation reste encore préoccupant. La baisse des départs quotidiens a permis de le ramener à 44%, mais il n'est que de 39,1% si on ne prend pas en compte les passagers sur des trajets internationaux. Il y a toutefois de l'espoir, puisque FLixbus annonce un taux d'occupation de 65%. Autre inquiétude, le prix aux 100 kilomètres qui s'établit à 4,3 euros TTC. Il recule de 8,5% par rapport à fin 2016. En revanche, il est en progression de 30% par rapport au trimestre de référence 2016, souligne le régulateur.
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