Le but de la manœuvre est simple : convaincre les grands patrons que la France peut les accueillir comme il se doit, qu’elle a des talents et l’envie pour devenir un grand centre d’épanouissement et d’investissement pour les entreprises.
Avec toute son équipe de ministre, Jean-Marc Ayrault, Fleur Pellerin et Arnaud Montebourg en tête de file, le gouvernement va donc tenter la Grande Séduction, comme dans le film du même nom. Mais ce ne sont pas les jeunes pleins d’idées de la Silicon Valley qu’il va falloir charmer cette fois.
Au programme, pour François Hollande, les patrons de Nestlè, Volvo ou encore General Electric, de même que les représentants des fonds d’investissements du Qatar et du Koweït. Au total, pas moins de 34 décideurs et personnalités de l’industrie mondiale sont attendues à l’Elysée pour ce conseil de l’attractivité, comme il a été nommé.
Pierre Moscovici avait, vendredi 14 février, estimé que le but de cette réunion stratégique est d’expliquer aux patrons « tout ce que nous faisons sur la compétitivité, sur la simplification, sur l'amélioration de l'environnement réglementaire et fiscal ». De quoi rassurer.
Car la France est pointée du doigt par les entreprises nationales et étrangères comme un des pays où les impôts payés par les professionnels sont les plus hauts. Un point très négatif sur lequel François Hollande veut doucement revenir notamment grâce au pacte de responsabilité.
Avec toute son équipe de ministre, Jean-Marc Ayrault, Fleur Pellerin et Arnaud Montebourg en tête de file, le gouvernement va donc tenter la Grande Séduction, comme dans le film du même nom. Mais ce ne sont pas les jeunes pleins d’idées de la Silicon Valley qu’il va falloir charmer cette fois.
Au programme, pour François Hollande, les patrons de Nestlè, Volvo ou encore General Electric, de même que les représentants des fonds d’investissements du Qatar et du Koweït. Au total, pas moins de 34 décideurs et personnalités de l’industrie mondiale sont attendues à l’Elysée pour ce conseil de l’attractivité, comme il a été nommé.
Pierre Moscovici avait, vendredi 14 février, estimé que le but de cette réunion stratégique est d’expliquer aux patrons « tout ce que nous faisons sur la compétitivité, sur la simplification, sur l'amélioration de l'environnement réglementaire et fiscal ». De quoi rassurer.
Car la France est pointée du doigt par les entreprises nationales et étrangères comme un des pays où les impôts payés par les professionnels sont les plus hauts. Un point très négatif sur lequel François Hollande veut doucement revenir notamment grâce au pacte de responsabilité.