Depuis l’avènement du gaz de schiste et la réduction du nucléaire dans la production d’énergie de certains pays, en premier lieu le Japon depuis la catastrophe de Fukushima, la consommation d’énergie fossile a augmenté. Un problème lié, entre autres, à l’émergence de nouvelles économies comme la Chine et l’Inde, friandes d’énergie.
Ainsi, Maria van der Hoeven, directrice générale de l’AIE, estime que « Nous devons agir mais nous ne prenons pas le bon chemin pour le moment ». En effet, malgré les efforts réalisés dans le domaine, les coûts de la transition énergétique continuent d’augmenter alors que, théoriquement, plus on avance dans l’adoption des énergies renouvelables, plus ce coût devrait baisser.
Estimé à 36 000 milliards de dollars en 2012 lors de la dernière convention bisannuelle sur la question, le coût de la transition énergétique a augmenté de 8 000 milliards de dollars. 44 000 milliards de dollars d’investissements seraient nécessaires pour réduire le réchauffement de la planète à long terme à seulement 2 degrés Celsius. Des investissements qui doivent être réalisés d’ici à 2050.
Toutefois, même si les investissements nécessaires augmentent, les économies qu’ils dégagent, théoriquement, augmentent aussi et passent de 100 000 milliards à 115 000 milliards. Mais pour ce faire il faut agir vite.
Pour Mme van der Hoeven, « plus on attend, plus la conversion de notre approvisionnement énergétiques est chère ».
Ainsi, Maria van der Hoeven, directrice générale de l’AIE, estime que « Nous devons agir mais nous ne prenons pas le bon chemin pour le moment ». En effet, malgré les efforts réalisés dans le domaine, les coûts de la transition énergétique continuent d’augmenter alors que, théoriquement, plus on avance dans l’adoption des énergies renouvelables, plus ce coût devrait baisser.
Estimé à 36 000 milliards de dollars en 2012 lors de la dernière convention bisannuelle sur la question, le coût de la transition énergétique a augmenté de 8 000 milliards de dollars. 44 000 milliards de dollars d’investissements seraient nécessaires pour réduire le réchauffement de la planète à long terme à seulement 2 degrés Celsius. Des investissements qui doivent être réalisés d’ici à 2050.
Toutefois, même si les investissements nécessaires augmentent, les économies qu’ils dégagent, théoriquement, augmentent aussi et passent de 100 000 milliards à 115 000 milliards. Mais pour ce faire il faut agir vite.
Pour Mme van der Hoeven, « plus on attend, plus la conversion de notre approvisionnement énergétiques est chère ».