Le constructeur de turbines et de moteurs d'avions va mal. Depuis le début de l'année, la capitalisation boursière de l'entreprise a cédé plus de 100 milliards de dollars. Elle est désormais de 177 milliards. La trésorerie n'est plus que de 7 milliards : insuffisant pour servir les actionnaires qui vont devoir se résoudre à des dividendes réduits ; GE avait ainsi promis de distribuer 8 milliards, mais l'état des finances de l'entreprise ne le permettra pas.
La publication des résultats du troisième trimestre a confirmé la mauvaise passe de GE. La société a vu son bénéfice net chuter de près de 10%, celui-ci s'étant établi à 1,8 milliard. Le groupe a donc préparé les esprits à un plan stratégique pour redresser la barre, qui va amplifier un programme d'économies déjà en œuvre, qui porte sur 1 milliard de dollars pour cette année, et 2 milliards l'année prochaine. Ce nouveau plan devrait miser sur la cession d'actifs, notamment des filiales transport et informatique médicale. L'activité de location d'avions de ligne pourrait aussi être vendue, ce qui pourrait rapporter 25 milliards de dollars.
General Electric va également revoir la culture du groupe. Une anecdote a montré que la priorité n'allait pas jusqu'à maintenant à la bonne gestion des deniers du groupe. Jeff Immelt, l'ancien patron du groupe, avait pris pour habitude de se déplacer avec deux avions, dont… un vide. Voilà des économies relativement faciles à faire.
La publication des résultats du troisième trimestre a confirmé la mauvaise passe de GE. La société a vu son bénéfice net chuter de près de 10%, celui-ci s'étant établi à 1,8 milliard. Le groupe a donc préparé les esprits à un plan stratégique pour redresser la barre, qui va amplifier un programme d'économies déjà en œuvre, qui porte sur 1 milliard de dollars pour cette année, et 2 milliards l'année prochaine. Ce nouveau plan devrait miser sur la cession d'actifs, notamment des filiales transport et informatique médicale. L'activité de location d'avions de ligne pourrait aussi être vendue, ce qui pourrait rapporter 25 milliards de dollars.
General Electric va également revoir la culture du groupe. Une anecdote a montré que la priorité n'allait pas jusqu'à maintenant à la bonne gestion des deniers du groupe. Jeff Immelt, l'ancien patron du groupe, avait pris pour habitude de se déplacer avec deux avions, dont… un vide. Voilà des économies relativement faciles à faire.