En 2015 le groupe Partouche devait rembourser pas moins de 233 millions d’euros à ses créanciers dont le fonds d’investissement américain Oaktree. Ce dernier, qui détient 38% de la dette du groupe, n’était pas réellement enclin à renégocier les clauses de son prêt et demandait un remboursement dans les délais.
Mais le groupe Partouche, qui a enregistré une baisse du chiffre d’affaires de 13 millions d’euros soit une baisse de 3,2% (le chiffre d’affaires s’est établi à 436 millions d’euros) ne semblait pas en mesure d’y arriver. En septembre 2013 il a donc décidé de se mettre en procédure de sauvegarde ce qui a changé la donne, notamment au niveau de ses créanciers.
En effet, une fois en procédure de sauvegarde, le juge en charge de celle-ci a le dernier mot et aurait pu décider de procéder à un étalement de la dette sur dix ans, objectif premier de la renégociation entamée par le groupe Partouche avec ses créanciers. Au final, un accord a été trouvé ce qui devrait permettre au deuxième casinotier français de souffler un peu.
La dette sera finalement étalée sur huit ans. En 2022 la dernière échéance devrait être de 26 millions d’euros selon Fabrice Paire, président du directoire du Groupe Partouche. Un objectif d’autant plus tenable que, lors de cette renégociation, le Groupe a réussi à s’émanciper des « covenants » qui établissent que l’intégralité de la dette est exigible en cas de ratios financiers non respectés.
Mais le groupe Partouche, qui a enregistré une baisse du chiffre d’affaires de 13 millions d’euros soit une baisse de 3,2% (le chiffre d’affaires s’est établi à 436 millions d’euros) ne semblait pas en mesure d’y arriver. En septembre 2013 il a donc décidé de se mettre en procédure de sauvegarde ce qui a changé la donne, notamment au niveau de ses créanciers.
En effet, une fois en procédure de sauvegarde, le juge en charge de celle-ci a le dernier mot et aurait pu décider de procéder à un étalement de la dette sur dix ans, objectif premier de la renégociation entamée par le groupe Partouche avec ses créanciers. Au final, un accord a été trouvé ce qui devrait permettre au deuxième casinotier français de souffler un peu.
La dette sera finalement étalée sur huit ans. En 2022 la dernière échéance devrait être de 26 millions d’euros selon Fabrice Paire, président du directoire du Groupe Partouche. Un objectif d’autant plus tenable que, lors de cette renégociation, le Groupe a réussi à s’émanciper des « covenants » qui établissent que l’intégralité de la dette est exigible en cas de ratios financiers non respectés.