C’est un nouveau coup dur pour JCDecaux dans la capitale, après le marché du Vélib’ qui lui a échappé au profit d’une start-up. Ce lundi 24 avril, le tribunal administratif a en effet décidé d’annuler l’attribution du marché parisien du mobilier urbain d’information, ce qui représente 1 630 panneaux publicitaires dont 15% d’écrans numériques. Le groupe devait verser 53% des recettes publicitaires à la ville, avec un minimum de 30 millions d’euros par an.
Clear Channel et Exterion Media, deux concurrents qui n’ont pas participé à l’appel d’offres de la Ville de Paris, ont saisi le tribunal administratif, estimant que celle-ci a retenu une offre « irrégulière en tant qu'elle propose de la publicité numérique pour 15% des mobiliers urbains à mettre en place ». Les deux concurrents de JCDecaux pensent que la consultation méconnait « le règlement local de publicité applicable qui prohibe la publicité lumineuse ».
De plus, « les conditions économiques de la concession, et en particulier sa durée, méconnaissent les obligations de mise en concurrence qui s'imposaient à la Ville de Paris ». Ces arguments ont été entendus par le tribunal administratif, tandis que JCDecaux et la ville estiment au contraire que la procédure s’est menée de manière tout à fait légale. L’affaire est donc loin d’être terminée.
Clear Channel et Exterion Media, deux concurrents qui n’ont pas participé à l’appel d’offres de la Ville de Paris, ont saisi le tribunal administratif, estimant que celle-ci a retenu une offre « irrégulière en tant qu'elle propose de la publicité numérique pour 15% des mobiliers urbains à mettre en place ». Les deux concurrents de JCDecaux pensent que la consultation méconnait « le règlement local de publicité applicable qui prohibe la publicité lumineuse ».
De plus, « les conditions économiques de la concession, et en particulier sa durée, méconnaissent les obligations de mise en concurrence qui s'imposaient à la Ville de Paris ». Ces arguments ont été entendus par le tribunal administratif, tandis que JCDecaux et la ville estiment au contraire que la procédure s’est menée de manière tout à fait légale. L’affaire est donc loin d’être terminée.