(c) Shutterstock/EconomieMatin
MoryGlobal est né sur les cendres de Mory Ducros, le transporteur de colis qui a disparu en février 2014. À l’époque, le repreneur, Arcole Industries, avait obtenu la suppression de la moitié des effectifs (soit 2 800 licenciements) et l’effacement de la dette de l’entreprise.
Un lourd tribut versé par les employés et les créanciers donc, mais qui n’a servi à rien : le transporteur routier, qui n’a pas su faire face à la concurrence étrangère et sans rebond, il était illusoire de poursuivre l’aventure. La société va donc pousser son dernier souffle. Il y a bien eu des offres de reprise, mais toutes partielles — l’ensemble du groupe MoryGlobal n’a intéressé aucun repreneur.
En bout de course, ce sont 2 200 emplois qui vont donc partir en fumée. « Les financements promis à la création de la société n'ont pas été au rendez-vous », explique Jean-Louis Demeulenaere, le PDG d’Arcole Industries, le fonds qui présidait aux destinées désormais funestes de MoryGlobal. L’entreprise possédait un réseau de 50 agences en France.
Un lourd tribut versé par les employés et les créanciers donc, mais qui n’a servi à rien : le transporteur routier, qui n’a pas su faire face à la concurrence étrangère et sans rebond, il était illusoire de poursuivre l’aventure. La société va donc pousser son dernier souffle. Il y a bien eu des offres de reprise, mais toutes partielles — l’ensemble du groupe MoryGlobal n’a intéressé aucun repreneur.
En bout de course, ce sont 2 200 emplois qui vont donc partir en fumée. « Les financements promis à la création de la société n'ont pas été au rendez-vous », explique Jean-Louis Demeulenaere, le PDG d’Arcole Industries, le fonds qui présidait aux destinées désormais funestes de MoryGlobal. L’entreprise possédait un réseau de 50 agences en France.