L’industrie financière devrait être la plus touchée par cette réforme de la fiscalité d’envergure puisque son taux d’imposition devrait doubler. Actuellement, ce secteur bénéficie d’une imposition à 2% alors qu’il était de 5% avant la crise de 1997. Ainsi faisant, Taïwan devrait ramener l’imposition à des niveaux similaires à l’époque ayant précédé cette crise.
C’est la volonté du ministre de l’économie, Chang Sheng-Ford, qui a bien précisé que le but est de « rétablir le taux d’imposition initial et non d’augmenter les impôts ».
La manœuvre devrait rapporter à l’Etat quelques 2,3 milliards de dollars taïwanais de recettes supplémentaires qui devraient permettre au pays de réduire sa dette. Le secteur bancaire et le secteur des assurances se portant bien, il semble inutile de maintenir une fiscalité très basse qui était nécessaire pour relancer les secteurs les plus touchés.
Toutefois, la fiscalité à 2% devrait être maintenu dans les valeurs mobilières, les investissements et les contrats à terme, ce qui devrait permettre au pays de ne pas subir un frein important au niveau de son économie à la suite de cette décision.
De même, la taxation pour les plus importantes fortunes du pays devrait être augmentée à des niveaux d’avant-crise, toujours dans le but de réduire la dette du pays.
C’est la volonté du ministre de l’économie, Chang Sheng-Ford, qui a bien précisé que le but est de « rétablir le taux d’imposition initial et non d’augmenter les impôts ».
La manœuvre devrait rapporter à l’Etat quelques 2,3 milliards de dollars taïwanais de recettes supplémentaires qui devraient permettre au pays de réduire sa dette. Le secteur bancaire et le secteur des assurances se portant bien, il semble inutile de maintenir une fiscalité très basse qui était nécessaire pour relancer les secteurs les plus touchés.
Toutefois, la fiscalité à 2% devrait être maintenu dans les valeurs mobilières, les investissements et les contrats à terme, ce qui devrait permettre au pays de ne pas subir un frein important au niveau de son économie à la suite de cette décision.
De même, la taxation pour les plus importantes fortunes du pays devrait être augmentée à des niveaux d’avant-crise, toujours dans le but de réduire la dette du pays.