Juliette Méadel, secrétaire d'Etat en charge de l'aide aux victimes, a annoncé le mercredi 19 octobre 2016 que le gouvernement avait décidé d'augmenter la taxe terrorisme. Cette taxe est prélevée sur tous les contrats d'assurance signés en France, quelle que soit leur nature. De fait, la taxe terrorisme est payée par les assureurs et leurs clients.
Cette augmentation, qui surviendra en 2017, est la deuxième en deux ans. Le 1er janvier 2016 la taxe terrorisme a augmenté de 1 euro la faisant grimper de 3,3 euros à 4,3 euros. Une augmentation qui n'a pas suffi à couvrir les frais des attentats de 2015 et de 2016. En 2017, donc, la taxe va encore augmenter.
Cette fois la hausse sera plus conséquence : de 37 %. La taxe terrorisme sera portée à 5,60 euros par an, soit 1,30 euro de plus qu'en 2016. Une augmentation que les assureurs ne pourront pas prendre en charge totalement.
Les assurances sont déjà en crise à cause des taux très bas qui rognent leurs marges si bien que la stabilité du secteur commence à inquiéter. L'augmentation de la taxe terrorisme a donc de fortes chances d'être répercutée sur le prix des contrats d'assurance des Français, au moins en partie.
Cette augmentation, qui surviendra en 2017, est la deuxième en deux ans. Le 1er janvier 2016 la taxe terrorisme a augmenté de 1 euro la faisant grimper de 3,3 euros à 4,3 euros. Une augmentation qui n'a pas suffi à couvrir les frais des attentats de 2015 et de 2016. En 2017, donc, la taxe va encore augmenter.
Cette fois la hausse sera plus conséquence : de 37 %. La taxe terrorisme sera portée à 5,60 euros par an, soit 1,30 euro de plus qu'en 2016. Une augmentation que les assureurs ne pourront pas prendre en charge totalement.
Les assurances sont déjà en crise à cause des taux très bas qui rognent leurs marges si bien que la stabilité du secteur commence à inquiéter. L'augmentation de la taxe terrorisme a donc de fortes chances d'être répercutée sur le prix des contrats d'assurance des Français, au moins en partie.