Ce n'est pas pour rien que le gouvernement continue d'afficher de gros espoirs de croissance pour la France. Des espoirs qui ont toutefois été un peu douchés par l'OCDE qui a revu à la baisse la croissance mondiale pour 2015 et 2016 et, de fait, également la croissance pour la France.
Au niveau mondial l'OCDE ne prévoit désormais plus que 3% de croissance pour 2015 contre les 3,1% prévus au mois de juin 2015. Et l'OCDE baisse également ses prévision de croissance pour l'an prochain qui passent des 3,8% prévus en juin 2015 à 3,6%. En cause, notamment, le ralentissement des économies émergentes parmi lesquelles la Chine, qui a subi une forte crise boursière et sur laquelle il y a des doutes concernant les chiffres officiels de la croissance, mais également d'autres pays comme le Brésil qui fait face à une baisse de la croissance phénoménale.
La France n'est pas en reste puisque l'OCDE ne prévoit plus que 1% de croissance pour 2015 (contre 1,1% prévus en juin) et 1,4% de croissance pour 2016 (contre 1,7% prévus en juin).
Ces prévisions, qui étaient initialement plus optimistes que celles du gouvernement, s'en retrouvent plus pessimistes. Si pour 2015 l'OCDE et le gouvernement tombent d'accord sur une croissance de 1%, pour 2016 le gouvernement maintient sa prévision de 1,5% de croissance. Toutefois, malgré la révision de l'OCDE, le FMI semble plutôt donner raison au gouvernement.
Au niveau mondial l'OCDE ne prévoit désormais plus que 3% de croissance pour 2015 contre les 3,1% prévus au mois de juin 2015. Et l'OCDE baisse également ses prévision de croissance pour l'an prochain qui passent des 3,8% prévus en juin 2015 à 3,6%. En cause, notamment, le ralentissement des économies émergentes parmi lesquelles la Chine, qui a subi une forte crise boursière et sur laquelle il y a des doutes concernant les chiffres officiels de la croissance, mais également d'autres pays comme le Brésil qui fait face à une baisse de la croissance phénoménale.
La France n'est pas en reste puisque l'OCDE ne prévoit plus que 1% de croissance pour 2015 (contre 1,1% prévus en juin) et 1,4% de croissance pour 2016 (contre 1,7% prévus en juin).
Ces prévisions, qui étaient initialement plus optimistes que celles du gouvernement, s'en retrouvent plus pessimistes. Si pour 2015 l'OCDE et le gouvernement tombent d'accord sur une croissance de 1%, pour 2016 le gouvernement maintient sa prévision de 1,5% de croissance. Toutefois, malgré la révision de l'OCDE, le FMI semble plutôt donner raison au gouvernement.