La publication des résultats trimestriels d’IBM montrent une chute généralisée du chiffre d’affaires partout dans le monde, y compris dans les marchés supposés être « à forte croissance » selon les dires des managers IBM eux-mêmes.
Le chiffre d’affaires a en effet reculé de 4% sur un an s’établissant à 22,4 milliards de dollars. Un recul de 2% a été enregistré sur les marchés américains, européens, africains et moyen-oriental tandis que sur le marché d’Asie pacifique la chute a été encore plus rude : -9%.
Les marchés supposés à forte croissance, de leur côté, ont fait pire : -6% en moyenne avec une chute de 9% du chiffre d’affaires en Inde, Russie, Chine et au Brésil.
Ces résultats plus que décevants qui sèment la panique à Wall Street s’accompagne également d’une chute de 99% du bénéfice net du groupe pour le troisième trimestre 2014. Il s’établit à 18 millions d’euros contre 4 milliards pour la même période de 2013. LA faute à la cession d’activités déficitaires qui ont coûté de l’argent à IBM.
En particulier, la cession de l’activité de fabrication de puces électroniques, cédée à GlobalFoundry. IBM versera également 1,5 milliards de dollars de dédommagement pour cette reprise. Au total, IBM dépensera près de 5 milliards de dollars pour se défaire d’activités déficitaires, ce qui explique ce résultat net aussi peu élevé.
Toutefois, selon Victoria « Ginni » Rometty, PDG d’IBM, le recul du chiffre d’affaires s’explique également par un changement d’attitude des clients du groupe. « Nos résultats montrent que nous sommes devant un changement sans précédent dans notre industrie » a-t-elle déclaré.
Le chiffre d’affaires a en effet reculé de 4% sur un an s’établissant à 22,4 milliards de dollars. Un recul de 2% a été enregistré sur les marchés américains, européens, africains et moyen-oriental tandis que sur le marché d’Asie pacifique la chute a été encore plus rude : -9%.
Les marchés supposés à forte croissance, de leur côté, ont fait pire : -6% en moyenne avec une chute de 9% du chiffre d’affaires en Inde, Russie, Chine et au Brésil.
Ces résultats plus que décevants qui sèment la panique à Wall Street s’accompagne également d’une chute de 99% du bénéfice net du groupe pour le troisième trimestre 2014. Il s’établit à 18 millions d’euros contre 4 milliards pour la même période de 2013. LA faute à la cession d’activités déficitaires qui ont coûté de l’argent à IBM.
En particulier, la cession de l’activité de fabrication de puces électroniques, cédée à GlobalFoundry. IBM versera également 1,5 milliards de dollars de dédommagement pour cette reprise. Au total, IBM dépensera près de 5 milliards de dollars pour se défaire d’activités déficitaires, ce qui explique ce résultat net aussi peu élevé.
Toutefois, selon Victoria « Ginni » Rometty, PDG d’IBM, le recul du chiffre d’affaires s’explique également par un changement d’attitude des clients du groupe. « Nos résultats montrent que nous sommes devant un changement sans précédent dans notre industrie » a-t-elle déclaré.