L’avis de François Rebsamen est simple : il n’y a pas de croissance en France et, du coup, une revalorisation exceptionnelle du SMIC n’est pas « une bonne idée ». La priorité, pour le ministre du Travail, c’est « l’investissement et l’emploi ». Du coup, lors de la prochaine revalorisation du SMIC qui interviendra le 1er janvier 2015, il ne faut pas s’attendre à des miracles ou des surprises.
La revalorisation risque donc d’être similaire, voire inférieure, à celle du 1er janvier 2014 lorsque le SMIC avait augmenté de 1,1% pour atteindre 1445,42 euros bruts par mois pour 35 heures hebdomadaires.
Une mauvaise nouvelle pour les salariés qui est toutefois accompagnée d’une bonne nouvelle : François Rebsamen a tenu à répondre au MEDEF et à sa volonté d’instaurer plusieurs SMIC aux montants différents, parmi lesquelles le très débattu « SMIC jeunes ». Pour le ministre du Travail, c’est hors de question.
« Le Smic est un outil national de solidarité et doit demeurer le même partout sur le territoire national » a déclaré le ministre. Pas de SMIC jeunes, ou encore de SMIC dont le montant serait différent de région en région, ne sont à l’étude au gouvernement.
« La société française ne veut pas d'une solution inégalitaire » a-t-il conclu.
La revalorisation risque donc d’être similaire, voire inférieure, à celle du 1er janvier 2014 lorsque le SMIC avait augmenté de 1,1% pour atteindre 1445,42 euros bruts par mois pour 35 heures hebdomadaires.
Une mauvaise nouvelle pour les salariés qui est toutefois accompagnée d’une bonne nouvelle : François Rebsamen a tenu à répondre au MEDEF et à sa volonté d’instaurer plusieurs SMIC aux montants différents, parmi lesquelles le très débattu « SMIC jeunes ». Pour le ministre du Travail, c’est hors de question.
« Le Smic est un outil national de solidarité et doit demeurer le même partout sur le territoire national » a déclaré le ministre. Pas de SMIC jeunes, ou encore de SMIC dont le montant serait différent de région en région, ne sont à l’étude au gouvernement.
« La société française ne veut pas d'une solution inégalitaire » a-t-il conclu.