C’est à contrecœur que Nintendo a annoncé quitter le sol brésilien en ce début d’année 2015. En particulier, c’est le partenariat avec Juegos de Video LatinoAmerica qui prend un terme et que Nintendo n’a pas voulu renouveler. Juegos de Video distribuait en effet les consoles et les jeux de la marque japonaise.
Toutefois les taxes imposées à Nintendo ne lui permettaient pas d’être compétitive face aux autres géants du jeu-vidéo, Sony, avec sa PS4, et Microsoft, avec sa xBox. Une Wii U, dernière console de Nintendo, affichait en effet près de 600 euros au Brésil alors qu’en Europe elle est proposée à 299 euros, ce qui en fait une console peu chère face à ses concurrentes de dernière génération.
Dans son communiqué, Nintendo précise bien que ce sont les « contraintes dans l’environnement commercial local » qui ont conduit la firme à cette décision importante. Notamment « les droits de douane qui concernent notre secteur ». La porte reste néanmoins ouverte à un retour de Nintendo au Brésil dans les années à venir.
L’autre solution pour Nintendo, afin de réduire les taxes qui pèsent sur ses consoles importées, ce serait d’ouvrir une ligne de production dans le pays. Mais l’investissement risque de ne pas être supportable à l’heure actuelle : Nintendo a en effet du mal à suivre le mouvement et à être compétitive face à Sony et Microsoft.
Toutefois les taxes imposées à Nintendo ne lui permettaient pas d’être compétitive face aux autres géants du jeu-vidéo, Sony, avec sa PS4, et Microsoft, avec sa xBox. Une Wii U, dernière console de Nintendo, affichait en effet près de 600 euros au Brésil alors qu’en Europe elle est proposée à 299 euros, ce qui en fait une console peu chère face à ses concurrentes de dernière génération.
Dans son communiqué, Nintendo précise bien que ce sont les « contraintes dans l’environnement commercial local » qui ont conduit la firme à cette décision importante. Notamment « les droits de douane qui concernent notre secteur ». La porte reste néanmoins ouverte à un retour de Nintendo au Brésil dans les années à venir.
L’autre solution pour Nintendo, afin de réduire les taxes qui pèsent sur ses consoles importées, ce serait d’ouvrir une ligne de production dans le pays. Mais l’investissement risque de ne pas être supportable à l’heure actuelle : Nintendo a en effet du mal à suivre le mouvement et à être compétitive face à Sony et Microsoft.