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Alors que l'Express annonçait jeudi 1er octobre 2015 un plan de suppression de postes qui devait comptait quelques 1900 suppressions les syndicats dévoilent ce vendredi 2 octobre 2015 que le nombre plus probable serait 2900 postes supprimés. Soit 1000 de plus qu'initialement estimé.
L'entreprise doit faire face, en effet, à une chute du trafic et à une rentabilité qui n'est plus au rendez-vous. Pour rattraper l'écart avec la concurrence, du coup, il y aurait une baisse d'activité qui se traduirait par la suppression de 5 avion en 2016 et 9 en 2017 selon les informations de Didier Fauverte, CGT. Cinq lignes long courrier pourraient également disparaître.
Pour ce faire, toutefois, Air France a besoin de supprimer des postes ce qui lui permettra de réduire ses coûts. Toutes les catégories sont concernées : 300 pilotes, 700 hôtesses et stewards et 1900 personnes au sol pourraient voir leur emploi supprimé. Mais pour l'instant il n'est pas question d'un plan de licenciement massif.
Alexandre de Juniac, PDG d'Air France KLM, a déclaré en effet vouloir privilégier "les départs volontaires" mais les syndicats craignent qu'il n'y ait pas assez de volontaires pour couvrir les besoins du groupe. Air France serait donc contraint, à ce moment-là, à procéder à des licenciements en bonne et due forme.
Depuis la création de l'entreprise il n'y a jamais eu de licenciement pour raisons économiques. Ce serait donc une première.
L'entreprise doit faire face, en effet, à une chute du trafic et à une rentabilité qui n'est plus au rendez-vous. Pour rattraper l'écart avec la concurrence, du coup, il y aurait une baisse d'activité qui se traduirait par la suppression de 5 avion en 2016 et 9 en 2017 selon les informations de Didier Fauverte, CGT. Cinq lignes long courrier pourraient également disparaître.
Pour ce faire, toutefois, Air France a besoin de supprimer des postes ce qui lui permettra de réduire ses coûts. Toutes les catégories sont concernées : 300 pilotes, 700 hôtesses et stewards et 1900 personnes au sol pourraient voir leur emploi supprimé. Mais pour l'instant il n'est pas question d'un plan de licenciement massif.
Alexandre de Juniac, PDG d'Air France KLM, a déclaré en effet vouloir privilégier "les départs volontaires" mais les syndicats craignent qu'il n'y ait pas assez de volontaires pour couvrir les besoins du groupe. Air France serait donc contraint, à ce moment-là, à procéder à des licenciements en bonne et due forme.
Depuis la création de l'entreprise il n'y a jamais eu de licenciement pour raisons économiques. Ce serait donc une première.