
Shutterstock/economiematin
Selon Allianz les assureurs de Germanwings (dont Allianz fait partie avec une trentaine d'autres compagnies d'assurances) devront débourser la coquette somme de 279 millions d'euros dans le cadre de cette catastrophe aérienne dont la plus grande partie devrait être consacrée à l'indemnisation des victimes.
Le journal économique allemand Handelsblatt estime que généralement les dommages et intérêts versés aux parents des victimes d'un crash aérien sont de 1 million de dollars en moyenne, soit 930 000 euros, par victime. Ce qui porte l'indemnisation totale à un peu plus de 139 millions d'euros pour les 150 passagers. Mais la question de la thèse du suicide du copilote pourrait complètement faire changer cette estimation, Germanwings pouvant alors se dédouaner d'une partie de ses responsabilités.
En plus de cette somme, Allianz estime que la perte de l'avion devrait coûter à la compagnie et donc aux assureurs peut être évaluée à 6,02 millions d'euros. A cela s'ajoutent aussi les frais du soutien psychologique des autres pilotes de la compagnie, les frais des recherches ainsi que plusieurs frais liés à la perte d'image de qualité de cette compagnie low-cost qui fait face ici à sa première catastrophe.
Toute jeune, la compagnie filiale de Lufthansa risque fort de pâtir au niveau de ses réservations de vols.
Le journal économique allemand Handelsblatt estime que généralement les dommages et intérêts versés aux parents des victimes d'un crash aérien sont de 1 million de dollars en moyenne, soit 930 000 euros, par victime. Ce qui porte l'indemnisation totale à un peu plus de 139 millions d'euros pour les 150 passagers. Mais la question de la thèse du suicide du copilote pourrait complètement faire changer cette estimation, Germanwings pouvant alors se dédouaner d'une partie de ses responsabilités.
En plus de cette somme, Allianz estime que la perte de l'avion devrait coûter à la compagnie et donc aux assureurs peut être évaluée à 6,02 millions d'euros. A cela s'ajoutent aussi les frais du soutien psychologique des autres pilotes de la compagnie, les frais des recherches ainsi que plusieurs frais liés à la perte d'image de qualité de cette compagnie low-cost qui fait face ici à sa première catastrophe.
Toute jeune, la compagnie filiale de Lufthansa risque fort de pâtir au niveau de ses réservations de vols.