L'Etat allemand n'a pas de suite été convaincu par l'offre de Midea sur l'entreprise Kuka et avait tenté de bloquer le processus de rachat. Kuka devait toutefois gagner quelques 1,2 milliard d'euros dans le cadre de l'opération qui voyait Midea, entrée au capital de Kuka en 2014, prendre le contrôle quasi-intégral de l'entreprise allemande.
Mercredi 17 août 2016, toutefois, la situation a été retournée. Dans un communiqué de presse les autorités allemandes ont annoncé qu'après l'étude du dossier de rachat elles n'allaient pas s'opposer à la prise de contrôle totale. Initialement, dans les plans de Berlin, Midea n'aurait dû prendre que 49 % du capital de Kuka, laissant finalement plus de la moitié du capital entre les mains des actionnaires allemands.
L'annonce des autorités risque de ne pas être du goût du gouvernement d'Angela Merkel mais, selon le communiqué, aucun blocage juridique ni aucun problème de concurrence ne pouvaient justifier un veto sur l'opération. Une bonne nouvelle pour le géant allemand qui, le 8 août 2016, avait annoncé détenir 94,55 % du capital de Kuka.
L'opération devrait donc être menée à bien selon les plans de l'entreprise chinoise et l'Europe perdra un autre de ses fleurons industriels de pointe.
Mercredi 17 août 2016, toutefois, la situation a été retournée. Dans un communiqué de presse les autorités allemandes ont annoncé qu'après l'étude du dossier de rachat elles n'allaient pas s'opposer à la prise de contrôle totale. Initialement, dans les plans de Berlin, Midea n'aurait dû prendre que 49 % du capital de Kuka, laissant finalement plus de la moitié du capital entre les mains des actionnaires allemands.
L'annonce des autorités risque de ne pas être du goût du gouvernement d'Angela Merkel mais, selon le communiqué, aucun blocage juridique ni aucun problème de concurrence ne pouvaient justifier un veto sur l'opération. Une bonne nouvelle pour le géant allemand qui, le 8 août 2016, avait annoncé détenir 94,55 % du capital de Kuka.
L'opération devrait donc être menée à bien selon les plans de l'entreprise chinoise et l'Europe perdra un autre de ses fleurons industriels de pointe.