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Lorsque le prix du gaz était très élevé, en 2014, le groupe Engie avait décidé d'éteindre les 4 centrales à gaz qu'il gère en France. Le coût de a production d'électricité était en effet trop élevé pour les maintenir en fonction. Mais cette décision s'est faite non sans provisionner de l'argent : bien qu'à l'arrêt, les centrales coûtent cher.
Les quatre centrales, uniquement en taxes, coûtent à Engie la coquette somme de 3 millions d'euros par an chacune. A cela il faut bien évidemment ajouter le coût de l'entretien, des équipes... une perte nette que le groupe a pu résorber un peu avec la baisse du prix du gaz. En relançant les centrales, la production d'électricité a pu reprendre et, de fait, la rentabilité et l'amortissement de l'investissement initial.
Les centrales, modernes, ont coûté entre 250 et 300 millions d'euros chacune. Un investissement qu'Engie avait du mal à rendre rentable. La baisse du prix du gaz, que les analystes estiment devoir se continuer alors que le pétrole ne semble pas montrer de signes de reprise et que l'Iran s'apprête à inonder le marché de son brut, va donc permettre à Engie de souffler.
En 2015, les quatre centrales du groupe ont produit deux fois plus d'électricité qu'en 2014. Et la tendance devrait se maintenir, surtout cet hiver, particulièrement froid si comparé aux températures très douces de l'hiver 2014-2015
Les quatre centrales, uniquement en taxes, coûtent à Engie la coquette somme de 3 millions d'euros par an chacune. A cela il faut bien évidemment ajouter le coût de l'entretien, des équipes... une perte nette que le groupe a pu résorber un peu avec la baisse du prix du gaz. En relançant les centrales, la production d'électricité a pu reprendre et, de fait, la rentabilité et l'amortissement de l'investissement initial.
Les centrales, modernes, ont coûté entre 250 et 300 millions d'euros chacune. Un investissement qu'Engie avait du mal à rendre rentable. La baisse du prix du gaz, que les analystes estiment devoir se continuer alors que le pétrole ne semble pas montrer de signes de reprise et que l'Iran s'apprête à inonder le marché de son brut, va donc permettre à Engie de souffler.
En 2015, les quatre centrales du groupe ont produit deux fois plus d'électricité qu'en 2014. Et la tendance devrait se maintenir, surtout cet hiver, particulièrement froid si comparé aux températures très douces de l'hiver 2014-2015