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Au Royaume-Uni l'obésité est déjà un problème de santé publique avec près de 25 % de la population qui est obèse (26 % des hommes et 24 % des femmes). Quant au surpoids, il progresse toujours notamment chez les adolescents et les jeunes. Le sucre commence donc à poser un véritable souci, notamment en termes de dépenses de santé qui devraient continuer d'augmenter alors qu'elles pèsent déjà 27 milliards de livres par an selon le gouvernement.
Pour lutter contre l'obésité, donc, une nouvelle taxe va être instaurée en 2017, laissant le temps aux entreprises de s'adapter. Elles pourront soit revoir leurs recettes soit accepter de payer la taxe ou encore répercuter celle-ci su le prix de vente au détail ce qui devrait faire augmenter le prix de vente et donc réduire la consommation.
Toutes les boissons sucrées contenant plus de 5 grammes de sucre par 100 millilitres sont concernées. Les sodas sont bien évidemment les premières boissons visées. Toutefois, ni les boissons à base de lait ni les jus de fruits ne devront payer la taxe en question.
Selon les calculs du gouvernement, dans l'état actuel de la consommation de boissons sucrées au Royaume-Uni, la taxe pourrait rapporter 660 millions d'euros par an. Cette somme sera utilisée pour augmenter les cours de sport dans les écoles, les collèges et les lycées du Royaume-Uni.
Pour le chancelier de l'Echiquier, cette taxe devrait inciter les entreprises alimentaires à prendre leurs responsabilités et faire leur part dans la lutte contre l'obésité.
Pour lutter contre l'obésité, donc, une nouvelle taxe va être instaurée en 2017, laissant le temps aux entreprises de s'adapter. Elles pourront soit revoir leurs recettes soit accepter de payer la taxe ou encore répercuter celle-ci su le prix de vente au détail ce qui devrait faire augmenter le prix de vente et donc réduire la consommation.
Toutes les boissons sucrées contenant plus de 5 grammes de sucre par 100 millilitres sont concernées. Les sodas sont bien évidemment les premières boissons visées. Toutefois, ni les boissons à base de lait ni les jus de fruits ne devront payer la taxe en question.
Selon les calculs du gouvernement, dans l'état actuel de la consommation de boissons sucrées au Royaume-Uni, la taxe pourrait rapporter 660 millions d'euros par an. Cette somme sera utilisée pour augmenter les cours de sport dans les écoles, les collèges et les lycées du Royaume-Uni.
Pour le chancelier de l'Echiquier, cette taxe devrait inciter les entreprises alimentaires à prendre leurs responsabilités et faire leur part dans la lutte contre l'obésité.