S&P prévoit en effet une croissance de 1,6% pour l'économie hexagonale en 2016, tout comme 2017. Cette année, la France bénéficiera quoi qu'il en soit d'une croissance supérieure à 2015, où elle devrait s'établir définitivement à 1,1%. La reprise sera toutefois « plus chaotique et moins prononcée » que dans la moyenne des autres pays de la zone euro, où les prévisions de S&P annoncent 1,7% pour cette année.
Les exportations françaises sont orientées à la hausse, tout comme la consommation des ménages. Les entreprises vont elles bénéficier de marges plus élevées (mais toujours moins que dans les autres pays de la zone euro). Par ailleurs, le secteur de la construction pourrait bien finalement rebondir après plusieurs années noires.
C'est l'environnement international qui inquiète S&P, tout particulièrement les économies des pays émergents. La chute des prix des matières premières a un impact majeur sur la santé de ces pays ; la demande provenant de ces marchés risque de baisser, entraînant un recul des importations. En revanche, il convient de « relativiser » le ralentissement de l'économie chinoise.
Les exportations françaises sont orientées à la hausse, tout comme la consommation des ménages. Les entreprises vont elles bénéficier de marges plus élevées (mais toujours moins que dans les autres pays de la zone euro). Par ailleurs, le secteur de la construction pourrait bien finalement rebondir après plusieurs années noires.
C'est l'environnement international qui inquiète S&P, tout particulièrement les économies des pays émergents. La chute des prix des matières premières a un impact majeur sur la santé de ces pays ; la demande provenant de ces marchés risque de baisser, entraînant un recul des importations. En revanche, il convient de « relativiser » le ralentissement de l'économie chinoise.