C'est à Doha, au Qatar, que la discussion a lieu entre les pays membres de l'OPEP. Depuis deux mois, les négociations en coulisse ont permis au cours du pétrole de rebondir de près de 50% : de 26$ le baril, le prix du brut vogue actuellement autour des 40$. On reste bien loin des niveaux de 2014, où le baril dépassait les 100$.
Cette hausse des prix est attendue dans de nombreux pays producteurs de pétrole, dont les économies sont directement impactées par les tarifs de l'énergie : c'est le cas pour la Russie et le Venezuela, mais aussi dans plusieurs pays de l'OPEP qui doivent se serrer la ceinture.
Mais un accord est loin d'être gagné. L'Iran, de retour dans le jeu international après s'être entendu sur son programme nucléaire, n'a pas l'intention de geler sa production de pétrole. Le pays veut même augmenter fortement sa production, au niveau d'avant l'embargo occidental. L'Iran ne compte d'ailleurs pas se rendre à la réunion de Doha…
Cette hausse des prix est attendue dans de nombreux pays producteurs de pétrole, dont les économies sont directement impactées par les tarifs de l'énergie : c'est le cas pour la Russie et le Venezuela, mais aussi dans plusieurs pays de l'OPEP qui doivent se serrer la ceinture.
Mais un accord est loin d'être gagné. L'Iran, de retour dans le jeu international après s'être entendu sur son programme nucléaire, n'a pas l'intention de geler sa production de pétrole. Le pays veut même augmenter fortement sa production, au niveau d'avant l'embargo occidental. L'Iran ne compte d'ailleurs pas se rendre à la réunion de Doha…