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Le service, complètement ancré dans la nouvelle économie du « partage », plait énormément, tout particulièrement en France. Après tout, l'hexagone est la première destination touristique mondiale, quoi de plus normal. Paris est d'ailleurs devenue la première ville au monde au catalogue d'Airbnb : on y trouve en effet 50 000 offres de location, soit un tiers de toutes les locations en France.
La Ville de Paris, après avoir joué du bâton contre les locataires un peu trop gourmands faisant de l'ombre aux hôteliers traditionnels, va à son tour profiter de cette manne. À partir du 1er octobre, le service en ligne va en effet collecter, pour le compte de la mairie, la taxe de séjour. Cette taxe, qu'acquittent tous les touristes en voyage dans la capitale, représente 0,83 euro par nuit et par voyageur.
Airbnb explique que cette taxe, qui correspond en l'occurrence à la catégorie « meublés touristiques non classés » (elle combine la taxe municipale et celle départementale), s'ajoutera à la facture de la réservation. L'entreprise ne va donc pas rogner sur ses marges, puisque c'est le touriste qui la paiera au complet. Un moindre mal, et une belle somme pour le budget de la ville, qui devrait récupérer 10 millions d'euros en 2016.
La Ville de Paris, après avoir joué du bâton contre les locataires un peu trop gourmands faisant de l'ombre aux hôteliers traditionnels, va à son tour profiter de cette manne. À partir du 1er octobre, le service en ligne va en effet collecter, pour le compte de la mairie, la taxe de séjour. Cette taxe, qu'acquittent tous les touristes en voyage dans la capitale, représente 0,83 euro par nuit et par voyageur.
Airbnb explique que cette taxe, qui correspond en l'occurrence à la catégorie « meublés touristiques non classés » (elle combine la taxe municipale et celle départementale), s'ajoutera à la facture de la réservation. L'entreprise ne va donc pas rogner sur ses marges, puisque c'est le touriste qui la paiera au complet. Un moindre mal, et une belle somme pour le budget de la ville, qui devrait récupérer 10 millions d'euros en 2016.