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Airbus a pris des commandes pour 840 milliards d’euros (!), de quoi assurer à l’entreprise une décennie de production. De quoi voir l’avenir en rose, ce d’autant que les résultats 2014 sont excellents : 4 milliards de résultat d’exploitation (+54%), la trésorerie se monte à 1,1 milliard, le tout accompagné, donc, de perspectives très favorables.
Cet optimisme est cependant légèrement terni par l’inquiétude qui pèse sur les lignes de production : seront-elles capables d’assurer la cadence pour livrer en temps et en heure les commandes des clients ? C’est pour cette raison que Tom Enders s’est montré prudent quant à l’évolution du résultat d’exploitation. Le patron d’Airbus compte d’ailleurs consacrer tout son temps à l’amélioration de l’outil industriel de l’entreprise.
Les défis sont multiples, à commencer par l’assemblage de l’A400M qui rencontre encore de sérieuses difficultés. Et pourtant, il faudra bien livrer les quelques 16 exemplaires promis pour cette année. Airbus doit aussi augmenter la cadence de production des A330 neo et continuer à augmenter le rythme de production de l’A320 (passer de 42 unités à 50 d’ici 2017).
Cet optimisme est cependant légèrement terni par l’inquiétude qui pèse sur les lignes de production : seront-elles capables d’assurer la cadence pour livrer en temps et en heure les commandes des clients ? C’est pour cette raison que Tom Enders s’est montré prudent quant à l’évolution du résultat d’exploitation. Le patron d’Airbus compte d’ailleurs consacrer tout son temps à l’amélioration de l’outil industriel de l’entreprise.
Les défis sont multiples, à commencer par l’assemblage de l’A400M qui rencontre encore de sérieuses difficultés. Et pourtant, il faudra bien livrer les quelques 16 exemplaires promis pour cette année. Airbus doit aussi augmenter la cadence de production des A330 neo et continuer à augmenter le rythme de production de l’A320 (passer de 42 unités à 50 d’ici 2017).