Les sommes versées par le constructeur californien peuvent aller jusqu’à 200 000 $ pour la découverte de vulnérabilités dans le logiciel interne (firmware) d’un iPhone, ou encore 50 000 $ pour toute faille touchant aux données stockées dans iCloud. Des sommes alléchantes censées détourner les hackers de revendre leurs découvertes à des agences de sécurité ou des entreprises privées exploitant ce type de failles.
Apple a pris son temps avant de lancer ce type de programme de « chasse aux bugs ». D’autres entreprises du secteur de l’informatique se sont lancé bien avant, à l’instar de Google, de Facebook, Microsoft et d’autres encore. Le créateur de l’iPhone y va cependant à pas comptés, puisque seuls une dizaine de chercheurs en sécurité ont été invités par la firme à la pomme à venir fouiller dans ses logiciels ; toutefois, d’autres chercheurs pourront être recrutés au fil des découvertes.
L’entreprise de Cupertino a sans doute été échaudée par ses déboires du début d’année avec le FBI. Les enquêteurs fédéraux ont fait appel à des hackers pour récupérer le contenu d’un iPhone ayant appartenu à un terroriste, avec succès. L’agence avait déboursé un million de dollars.
Apple a pris son temps avant de lancer ce type de programme de « chasse aux bugs ». D’autres entreprises du secteur de l’informatique se sont lancé bien avant, à l’instar de Google, de Facebook, Microsoft et d’autres encore. Le créateur de l’iPhone y va cependant à pas comptés, puisque seuls une dizaine de chercheurs en sécurité ont été invités par la firme à la pomme à venir fouiller dans ses logiciels ; toutefois, d’autres chercheurs pourront être recrutés au fil des découvertes.
L’entreprise de Cupertino a sans doute été échaudée par ses déboires du début d’année avec le FBI. Les enquêteurs fédéraux ont fait appel à des hackers pour récupérer le contenu d’un iPhone ayant appartenu à un terroriste, avec succès. L’agence avait déboursé un million de dollars.