Le nombre de demandeurs d'emploi n'ayant exercé aucune activité (catégorie A) a reculé de 1% au premier trimestre, soit 33 300 inscrits en moins à Pôle Emploi par rapport au dernier trimestre 2017. Ce chiffre est en recul encore plus fort si on le compare au premier trimestre de l'an dernier : 48 700 chômeurs en moins. En tout, on compte 3 435 900 personnes inscrites à Pôle Emploi dans la catégorie A en France métropolitaine. Des résultats probants qui montrent que l'économie créé des emplois. Mais le tableau n'est pas si rose quand on élargit aux autres catégories.
Ainsi, le nombre de personnes inscrites dans les catégories B et C augmente d'un trimestre à l'autre. Dans la catégorie B, celle des chômeurs ayant exercé une activité réduite courte, les demandeurs d'emploi sont 1,8% plus nombreux par rapport au dernier trimestre 2017. Et dans la catégorie C (les personnes ayant exercé une activité réduite longue), le nombre de chômeurs a augmenté de 1,4%. Les syndicats relèvent que ces hausses sont le résultat d'une plus grande préconisation du marché du travail. En tout, en France métropolitaine, il y a 5 621 000 personnes au chômage dans les catégories A, B et C (5 930 400 avec l'outre mer, hors Mayotte).
Le ministère du Travail note que « le nombre de demandeurs d’emploi en catégories A, B, C reste stable sur ce trimestre (+100) et progresse de 2,1 % sur un an ». C'est la première fois que le ministère fournit des chiffres trimestriels, après des années rythmées par une cadence de publication mensuelle. Les économistes et les autorités estimaient que l'ancien rythme ne permettait pas d'avoir une idée juste du chômage en France, en raison des aléas conjoncturels. Cette moyenne trimestrielle, qui va lisser les tendances, va aussi pouvoir se comparer aux chiffres de l'Insee qui mesure le chômage au sens du Bureau international du travail.
Ainsi, le nombre de personnes inscrites dans les catégories B et C augmente d'un trimestre à l'autre. Dans la catégorie B, celle des chômeurs ayant exercé une activité réduite courte, les demandeurs d'emploi sont 1,8% plus nombreux par rapport au dernier trimestre 2017. Et dans la catégorie C (les personnes ayant exercé une activité réduite longue), le nombre de chômeurs a augmenté de 1,4%. Les syndicats relèvent que ces hausses sont le résultat d'une plus grande préconisation du marché du travail. En tout, en France métropolitaine, il y a 5 621 000 personnes au chômage dans les catégories A, B et C (5 930 400 avec l'outre mer, hors Mayotte).
Le ministère du Travail note que « le nombre de demandeurs d’emploi en catégories A, B, C reste stable sur ce trimestre (+100) et progresse de 2,1 % sur un an ». C'est la première fois que le ministère fournit des chiffres trimestriels, après des années rythmées par une cadence de publication mensuelle. Les économistes et les autorités estimaient que l'ancien rythme ne permettait pas d'avoir une idée juste du chômage en France, en raison des aléas conjoncturels. Cette moyenne trimestrielle, qui va lisser les tendances, va aussi pouvoir se comparer aux chiffres de l'Insee qui mesure le chômage au sens du Bureau international du travail.