Au micro d'Europe 1, le gouverneur a mis les points sur les i : « Il y a une nécessité impérative, et je veux le dire avec beaucoup de force, c'est que la France descende réellement sous la barre des 3% de déficit en 2017 ». La période électorale est en effet propice aux promesses de toutes sortes qu'il faut financer ; et les différents candidats peuvent avoir envie de jouer avec le niveau de déficit public du pays.
« Nous sommes au pied du mur, et c'est au pied du mur qu'on juge le maçon. Il va falloir tenir nos engagements », insiste François Villeroy de Galhau. Il déclare qu'il est impératif de prendre des mesures « crédibles » pour parvenir à l'objectif des 3% et moins pour l'année prochaine.
Le gouvernement, dans son projet de budget pour 2017, a promis de ramener le déficit public à 2,7% après 3,3% en 2016. Et ce, malgré les milliards d'euros de nouvelles dépenses engagées par l'exécutif. « Tous nos partenaires européens nous attendent là-dessus. Ca fait très longtemps qu'on n'est pas descendu sous les 3%. C'est la condition de notre crédibilité en Europe », estime le gouverneur, qui estime possible ce seuil des 2,7%.
« Nous sommes au pied du mur, et c'est au pied du mur qu'on juge le maçon. Il va falloir tenir nos engagements », insiste François Villeroy de Galhau. Il déclare qu'il est impératif de prendre des mesures « crédibles » pour parvenir à l'objectif des 3% et moins pour l'année prochaine.
Le gouvernement, dans son projet de budget pour 2017, a promis de ramener le déficit public à 2,7% après 3,3% en 2016. Et ce, malgré les milliards d'euros de nouvelles dépenses engagées par l'exécutif. « Tous nos partenaires européens nous attendent là-dessus. Ca fait très longtemps qu'on n'est pas descendu sous les 3%. C'est la condition de notre crédibilité en Europe », estime le gouverneur, qui estime possible ce seuil des 2,7%.