Mais la politique n’est jamais très loin, surtout en cette période d’incertitude liée aux conséquences du Brexit. Durant la campagne du référendum sur le maintien ou la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union européenne, Mark Carney s’était positionné fermement en faveur du maintient dans l’UE. Il a ainsi averti qu’une sortie de l’Union aurait des conséquences lourdes pour l’économie du pays.
Le gouverneur de la Banque d’Angleterre, en poste depuis 2013, a un contrat qui court jusqu’en 2018, avec la possibilité de le poursuivre jusqu’en 2021. Il doit annoncer sa volonté de rester en poste jusqu’à cette date en fin d’année, mais finalement il pourrait décider de quitter l’institution dans les prochaines semaines.
La presse britannique rapporte que la décision de Mark Carney est prise, suite à la désillusion du nouveau gouvernement conservateur de Theresa May. La Première ministre a critiqué la politique de la Banque d’Angleterre sur les taux d’intérêt qui seraient trop faibles pour les épargnants. Devant une commission parlementaire, le gouverneur a fait savoir que si une décision devait être prise de sa part, elle serait entièrement guidée par des préoccupations « personnelles », et non politiques. Reste que le Brexit n’a pas fini de modifier profondément le paysage économique outre Manche.
Le gouverneur de la Banque d’Angleterre, en poste depuis 2013, a un contrat qui court jusqu’en 2018, avec la possibilité de le poursuivre jusqu’en 2021. Il doit annoncer sa volonté de rester en poste jusqu’à cette date en fin d’année, mais finalement il pourrait décider de quitter l’institution dans les prochaines semaines.
La presse britannique rapporte que la décision de Mark Carney est prise, suite à la désillusion du nouveau gouvernement conservateur de Theresa May. La Première ministre a critiqué la politique de la Banque d’Angleterre sur les taux d’intérêt qui seraient trop faibles pour les épargnants. Devant une commission parlementaire, le gouverneur a fait savoir que si une décision devait être prise de sa part, elle serait entièrement guidée par des préoccupations « personnelles », et non politiques. Reste que le Brexit n’a pas fini de modifier profondément le paysage économique outre Manche.