Cette rémunération s’élève à 7,2 millions d’euros pour l’exercice 2015. Elle a été retoquée par 54% des actionnaires, dont l’État, qui possède 19,74% du capital de l’entreprise. Carlos Ghosn n’avait toutefois rien à craindre : la somme a été confirmée par le conseil d’administration réuni après l’assemblée annuelle. Mais contre l’avis des représentants de l’État.
Ces 7,2 millions comprennent un fixe de 1,23 million, une part variable de 1,78 million, le reste étant composé de stock options et de bonus en tout genre. Le gouvernement a expliqué son vote de refus à l’assemblée et au conseil d’administration par sa volonté de lutter contre les rémunérations exubérantes des PDG, notamment dans les entreprises à participation publique.
Le conseil d’administration de Renault a toutefois indiqué qu’il allait examiner les évolutions utiles en matière de rémunérations pour 2016 et les années suivantes. « C'est le conseil qui juge des personnes qu'il souhaite pour diriger l'entreprise, c'est le conseil qui juge si la façon dont le PDG est payé est conforme à ses efforts, ses talents », a expliqué Carlos Ghosn.
Ces 7,2 millions comprennent un fixe de 1,23 million, une part variable de 1,78 million, le reste étant composé de stock options et de bonus en tout genre. Le gouvernement a expliqué son vote de refus à l’assemblée et au conseil d’administration par sa volonté de lutter contre les rémunérations exubérantes des PDG, notamment dans les entreprises à participation publique.
Le conseil d’administration de Renault a toutefois indiqué qu’il allait examiner les évolutions utiles en matière de rémunérations pour 2016 et les années suivantes. « C'est le conseil qui juge des personnes qu'il souhaite pour diriger l'entreprise, c'est le conseil qui juge si la façon dont le PDG est payé est conforme à ses efforts, ses talents », a expliqué Carlos Ghosn.