2017, l’année des ouragans
Les ouragans Harvey, Irma et Maria, les inondations au Bangladesh et au Sierre Leone, la coulée de boue à Mocoa (Colombie), les incendies de forêts en Californie… Les catastrophes naturelles ont été nombreuses en 2017. Et qui dit catastrophes naturelles dit dégâts : en 2017, leur coût a littéralement explosé, pour s’établir à l’équivalent de 258 milliards d’euros. À titre de comparaison, le coût moyen des dégâts résultant de catastrophes naturelles ces dix dernières années a été de 160 milliards d’euros.
De ces 258 milliards d’euros, 78 milliards sont attribuables au passage des ouragans Harvey, Irma et Maria, qui ont frappé les États-Unis et les Caraïbes (notamment les Antilles françaises). 2017 entrera dans l’histoire comme une année particulièrement « riche » en ouragans. En effet, des dégâts d’une telle ampleur n’ont pas été constatés depuis 2005, année où l’ouragan Katrina a occasionné l’équivalent de 95 milliards d’euros de dégâts.
De ces 258 milliards d’euros, 78 milliards sont attribuables au passage des ouragans Harvey, Irma et Maria, qui ont frappé les États-Unis et les Caraïbes (notamment les Antilles françaises). 2017 entrera dans l’histoire comme une année particulièrement « riche » en ouragans. En effet, des dégâts d’une telle ampleur n’ont pas été constatés depuis 2005, année où l’ouragan Katrina a occasionné l’équivalent de 95 milliards d’euros de dégâts.
Le recours aux assurances est au plus haut
Bonne nouvelle cependant : jamais les particuliers et les entreprises n’ont été aussi prévoyants qu’en 2017. Sur les 258 milliards d’euros de biens perdus ou dégradés, 114,5 milliards d’euros étaient assurés. C’est beaucoup plus qu’en 2016, année où seuls 55 milliards d’euros de biens perdus suite aux catastrophes naturelles étaient assurés.
On est naturellement amené à penser que l’assurance gagne du terrain, mais ce chiffre est aussi plus important en 2017 parce que les ouragans Harvey, Irma et Maria ont frappé les États-Unis, un pays où le recours à l’assurance est très élevé et où les biens détenus sont de bien plus grande valeur que dans les pays en voie en développement.
On est naturellement amené à penser que l’assurance gagne du terrain, mais ce chiffre est aussi plus important en 2017 parce que les ouragans Harvey, Irma et Maria ont frappé les États-Unis, un pays où le recours à l’assurance est très élevé et où les biens détenus sont de bien plus grande valeur que dans les pays en voie en développement.