Un montant historique distribué aux actionnaires
Le deuxième trimestre 2024 a marqué un nouveau sommet en matière de distribution de dividendes. D’après le dernier rapport de la société de gestion Janus Henderson, les entreprises cotées ont versé 606,1 milliards de dollars à leurs actionnaires, un record historique. Ce montant reflète une hausse de 5,8 % par rapport à l’année précédente. Cette augmentation atteint même 8,2 % en excluant les effets de change et les paiements exceptionnels. Un tiers de cette croissance sous-jacente est attribué aux banques, qui continuent de jouer un rôle majeur dans l’augmentation des rémunérations.
Le secteur bancaire n’est cependant pas le seul à avoir renforcé ses dividendes. Les géants de la technologie, notamment Meta et Alphabet, ont pour la première fois intégré des dividendes à leur politique de retour aux actionnaires. Meta a distribué 50 centimes par action, tandis qu'Alphabet a versé un coupon de 20 centimes par action, promettant de renouveler l'opération chaque trimestre. Selon Jane Shoemake, gérante de portefeuille chez Janus Henderson, cette évolution positive dans les secteurs technologiques pourrait encourager d’autres entreprises à suivre cet exemple.
La contribution des géants de la technologie n’a pas été négligeable, représentant une augmentation d'1,1 point de pourcentage dans les dividendes mondiaux. Jane Shoemake souligne que l'introduction de dividendes par des entreprises comme Meta, Alphabet et Alibaba reflète un stade de maturité où ces firmes choisissent de redistribuer leurs excédents de liquidités à leurs actionnaires. Cette stratégie, très appréciée par les investisseurs, renforce l’attrait des entreprises technologiques et pourrait dynamiser davantage le marché des dividendes.
Le secteur bancaire n’est cependant pas le seul à avoir renforcé ses dividendes. Les géants de la technologie, notamment Meta et Alphabet, ont pour la première fois intégré des dividendes à leur politique de retour aux actionnaires. Meta a distribué 50 centimes par action, tandis qu'Alphabet a versé un coupon de 20 centimes par action, promettant de renouveler l'opération chaque trimestre. Selon Jane Shoemake, gérante de portefeuille chez Janus Henderson, cette évolution positive dans les secteurs technologiques pourrait encourager d’autres entreprises à suivre cet exemple.
La contribution des géants de la technologie n’a pas été négligeable, représentant une augmentation d'1,1 point de pourcentage dans les dividendes mondiaux. Jane Shoemake souligne que l'introduction de dividendes par des entreprises comme Meta, Alphabet et Alibaba reflète un stade de maturité où ces firmes choisissent de redistribuer leurs excédents de liquidités à leurs actionnaires. Cette stratégie, très appréciée par les investisseurs, renforce l’attrait des entreprises technologiques et pourrait dynamiser davantage le marché des dividendes.
Les banques et la tech comme moteurs de croissance des dividendes
En parallèle, en Europe, les dividendes ont également atteint des niveaux historiques, avec 204,6 milliards de dollars versés durant le deuxième trimestre. Les entreprises européennes distribuent traditionnellement leurs dividendes entre avril et juin, ce qui a contribué à l’effet saisonnier observé. En France, un nouveau record a été établi avec 58,6 milliards de dollars versés, une progression de 6,8 %. Ce résultat est en grande partie dû à des entreprises comme Hermès et Airbus, qui ont versé des dividendes exceptionnels, ainsi qu’à Axa et BNP Paribas, qui ont affiché une forte rentabilité.
Les résultats du deuxième trimestre ont conduit Janus Henderson à réviser ses prévisions pour l’année 2024. Le gestionnaire d'actifs mondial s'attend désormais à une distribution totale de 1.740 milliards de dollars en dividendes, une hausse de 6,4 % par rapport à 2023. Ce chiffre, supérieur aux prévisions du premier trimestre, témoigne de la robustesse des entreprises dans un contexte économique toujours incertain.
Plus de 90 % des entreprises étudiées par Janus Henderson ont maintenu ou augmenté leurs dividendes. Ce dynamisme est particulièrement porté par la bonne santé des secteurs bancaires, qui profitent de la hausse des taux d'intérêt, et par l’entrée en scène des grandes entreprises technologiques dans la redistribution de liquidités. Seuls trois secteurs ont vu une baisse des dividendes, selon le rapport, preuve d'une stabilité globale sur le plan des rémunérations aux actionnaires.
Les résultats du deuxième trimestre ont conduit Janus Henderson à réviser ses prévisions pour l’année 2024. Le gestionnaire d'actifs mondial s'attend désormais à une distribution totale de 1.740 milliards de dollars en dividendes, une hausse de 6,4 % par rapport à 2023. Ce chiffre, supérieur aux prévisions du premier trimestre, témoigne de la robustesse des entreprises dans un contexte économique toujours incertain.
Plus de 90 % des entreprises étudiées par Janus Henderson ont maintenu ou augmenté leurs dividendes. Ce dynamisme est particulièrement porté par la bonne santé des secteurs bancaires, qui profitent de la hausse des taux d'intérêt, et par l’entrée en scène des grandes entreprises technologiques dans la redistribution de liquidités. Seuls trois secteurs ont vu une baisse des dividendes, selon le rapport, preuve d'une stabilité globale sur le plan des rémunérations aux actionnaires.