Durant la première visite de David Davis, le ministre britannique du Brexit, à une délégation de députés européens, le ton a été certes courtois, mais aussi ferme. Le Parlement aura entre ses mains le vote final sur l’accord de rupture que les deux parties, la Grande-Bretagne et l’Union européenne, signeront.
Le lancement effectif des négociations est fixé pour le mois de mars, lorsque Theresa May activera pour la première fois l’article 50 du traité de Lisbonne. Ensuite, Londres et Bruxelles auront entre 14 et 15 mois pour dénouer tous leurs liens et négocier le divorce. Guy Verhofstadt, le référent Brexit pour le Parlement européen, a expliqué que le processus de séparation devait s’achever « avant les élections européennes », c’est à dire en mai ou juin 2019.
De fait, les négociations à proprement parler, qui ne débuteront qu’en mai 2017, devront se terminer avant la fin 2018, le temps ensuite de laisser le Parlement voter sur le texte. « La fenêtre de négociations est donc plus ou moins de 14-15 mois. Ce sera une période très intense », a-t-il dit.
Le lancement effectif des négociations est fixé pour le mois de mars, lorsque Theresa May activera pour la première fois l’article 50 du traité de Lisbonne. Ensuite, Londres et Bruxelles auront entre 14 et 15 mois pour dénouer tous leurs liens et négocier le divorce. Guy Verhofstadt, le référent Brexit pour le Parlement européen, a expliqué que le processus de séparation devait s’achever « avant les élections européennes », c’est à dire en mai ou juin 2019.
De fait, les négociations à proprement parler, qui ne débuteront qu’en mai 2017, devront se terminer avant la fin 2018, le temps ensuite de laisser le Parlement voter sur le texte. « La fenêtre de négociations est donc plus ou moins de 14-15 mois. Ce sera une période très intense », a-t-il dit.