La centrale de Fessenheim, toujours en production, doit fermer ses portes en 2018. EDF, qui opère l’installation, veut une indemnisation pour couvrir ses frais. Au départ, Ségolène Royal avait proposé une enveloppe comprise entre 80 et 100 millions d’euros ; un montant jugé « provocateur » pour l’électricien.
Et pour cause : d’après EDF, l’arrêt de la production à la centrale de Fessenheim représenterait « plusieurs milliards d’euros », de 2 à 3 milliards d’après plusieurs sources. Le ministère de l’Écologie et de l’Énergie était donc bien loin du compte… Bloomberg rapporte que le gouvernement a musclé sa proposition.
D’après l’agence, le gouvernement et EDF seraient parvenus à un accord préliminaire : au moins 400 millions d’euros, soit près de quatre fois plus que la précédente offre de l’exécutif. Et cette somme comprend un volet variable qui permettra à l’entreprise de récupérer des montants additionnels selon les prix de l’énergie dans les vingt prochaines années. La proposition sera débattue durant un comité d’entreprise le 14 septembre.
Et pour cause : d’après EDF, l’arrêt de la production à la centrale de Fessenheim représenterait « plusieurs milliards d’euros », de 2 à 3 milliards d’après plusieurs sources. Le ministère de l’Écologie et de l’Énergie était donc bien loin du compte… Bloomberg rapporte que le gouvernement a musclé sa proposition.
D’après l’agence, le gouvernement et EDF seraient parvenus à un accord préliminaire : au moins 400 millions d’euros, soit près de quatre fois plus que la précédente offre de l’exécutif. Et cette somme comprend un volet variable qui permettra à l’entreprise de récupérer des montants additionnels selon les prix de l’énergie dans les vingt prochaines années. La proposition sera débattue durant un comité d’entreprise le 14 septembre.