Entamées depuis janvier 2012, les discussions entre Paris et Neh Delhi pour l'équipement militaire indien n'ont cessé d'évoluer. Désormais, il est acquis que le pays veut acquérir 36 Rafale pour un montant qui tourne autour des 5 milliards d'euros. Un joli contrat pour le consortium Dassault, Thales et Safran, mais l'affaire est loin d'être dans le sac.
Le président de la République espérait arracher le contrat durant sa visite officielle dans le pays, mais les choses ne se sont pas déroulées comme la délégation française l'attendait. Ce lundi 25 janvier, on apprend en effet que les deux pays ont signé un « accord intergouvernemental », qui rapproche les avions de combat des bases indiennes… mais sans encore en fixer le prix.
« Seuls les aspects financiers restent à discuter », explique le Premier ministre indien Narendra Modi, qui annonce, optimiste, que « ce sera terminé rapidement ». La présidence de la République a enchéri, évoquant une finalisation « dans quelques jours ». Enfin, Dassault préfère lui évoquer une fenêtre, sans doute plus réaliste, de « quatre semaines ». Bref, c'est encore le flou le plus total sur cette transaction.
Le président de la République espérait arracher le contrat durant sa visite officielle dans le pays, mais les choses ne se sont pas déroulées comme la délégation française l'attendait. Ce lundi 25 janvier, on apprend en effet que les deux pays ont signé un « accord intergouvernemental », qui rapproche les avions de combat des bases indiennes… mais sans encore en fixer le prix.
« Seuls les aspects financiers restent à discuter », explique le Premier ministre indien Narendra Modi, qui annonce, optimiste, que « ce sera terminé rapidement ». La présidence de la République a enchéri, évoquant une finalisation « dans quelques jours ». Enfin, Dassault préfère lui évoquer une fenêtre, sans doute plus réaliste, de « quatre semaines ». Bref, c'est encore le flou le plus total sur cette transaction.