« Le rayonnement de l’Afrique passe par le développement des énergies renouvelables1 et l’efficacité énergétique à des fins productives2, afin de répondre aux nouveaux défis auxquels le continent est confronté. L’électrification de l’Afrique est un des axes de solution. En effet, le taux d’électrification quand il est important favorise le développement et la croissance3. La conjugaison de la hausse de la démographie et de la hausse de l’urbanisation engendre de nombreux problèmes induits qu’il convient de résoudre. L’électrification favorise le décollage économique, les mutations agricoles, le recours aux énergies renouvelables, la technologie de la révolution digitale ou encore la croissance plus soutenue, etc4.
Le parc des énergies renouvelables en Afrique est faible alors que le potentiel de production d’électricité est paradoxalement important. Une tendance lourde s’oriente vers le déploiement de solutions vertes décentralisées, la baisse des coûts des énergies renouvelables (solaire centralisé), la cohabitation avec les énergies fossiles. De plus, l’activisme de la Chine pour la construction des centrales à charbon s’accroît. La population serait alors confrontée, soumise et défavorisée par la pollution. Cependant, les découvertes importantes de gisements de gaz pourraient à terme, modifier la donne.
En effet, en Afrique, le secteur électrique est en mutation avec le développement des énergies renouvelables et la baisse des coûts des nouvelles solutions TIC et de paiement. La transformation digitale des systèmes électriques est rapide parce que le continent est jeune démographiquement. Le problème réside surtout dans le manque d’infrastructures électriques. L’avenir du système dualiste de l’électrification est un moyen de production décentralisé en zones urbaines palliant aux faiblesses du réseau central. De plus, l’émancipation des utilisateurs face au réseau central y compris en zones couvertes est hybride, car il est avantageux : fiabilité des réseaux, baisse des tarifs, problématiques d’environnement. Le recours à l’utilisation de kits solaires est fort. Il s’agit de systèmes de prépaiement par téléphone portable (pay as you go) et de systèmes de plus en plus matures5.
L’Afrique aussi actuellement est au cœur des enjeux climatiques. Il est nécessaire de favoriser un développement économique pérenne avec une adaptation et une intégration des enjeux du réchauffement climatique, tels que la résilience de l’Afrique qui doit passer par le renforcement des politiques durables6.
La COVID-19 a accru la pauvreté et le chômage. Dès lors, un risque de protectionnisme s’accroît. Or, parallèlement, l’industrie africaine est peu compétitive7.
Dans ce cadre, deux axes sont envisagés. Les politiques stratégiques et les innovations stratégiques. »
Le parc des énergies renouvelables en Afrique est faible alors que le potentiel de production d’électricité est paradoxalement important. Une tendance lourde s’oriente vers le déploiement de solutions vertes décentralisées, la baisse des coûts des énergies renouvelables (solaire centralisé), la cohabitation avec les énergies fossiles. De plus, l’activisme de la Chine pour la construction des centrales à charbon s’accroît. La population serait alors confrontée, soumise et défavorisée par la pollution. Cependant, les découvertes importantes de gisements de gaz pourraient à terme, modifier la donne.
En effet, en Afrique, le secteur électrique est en mutation avec le développement des énergies renouvelables et la baisse des coûts des nouvelles solutions TIC et de paiement. La transformation digitale des systèmes électriques est rapide parce que le continent est jeune démographiquement. Le problème réside surtout dans le manque d’infrastructures électriques. L’avenir du système dualiste de l’électrification est un moyen de production décentralisé en zones urbaines palliant aux faiblesses du réseau central. De plus, l’émancipation des utilisateurs face au réseau central y compris en zones couvertes est hybride, car il est avantageux : fiabilité des réseaux, baisse des tarifs, problématiques d’environnement. Le recours à l’utilisation de kits solaires est fort. Il s’agit de systèmes de prépaiement par téléphone portable (pay as you go) et de systèmes de plus en plus matures5.
L’Afrique aussi actuellement est au cœur des enjeux climatiques. Il est nécessaire de favoriser un développement économique pérenne avec une adaptation et une intégration des enjeux du réchauffement climatique, tels que la résilience de l’Afrique qui doit passer par le renforcement des politiques durables6.
La COVID-19 a accru la pauvreté et le chômage. Dès lors, un risque de protectionnisme s’accroît. Or, parallèlement, l’industrie africaine est peu compétitive7.
Dans ce cadre, deux axes sont envisagés. Les politiques stratégiques et les innovations stratégiques. »
1 Solaire (de 5 à 6 Kwh/m²/jour), hydroélectricité, biomasse, éolienne, terres disponibles, etc.
2 Fourniture d’énergie, exploitation du potentiel, solutions décentralisées.
3 www.un.org
4 Ramsès 2021 (2020), « Afrique subsaharienne : les enjeux d’une électrification durable- Se développer et résister au réchauffement », IFRI, Paris, p. 84-89.
5 https://www.ifpenergiesnouvelles.fr/article/developpement-des-energies-renouvelables-va-t-il-permettre-decollage-economique-lafrique-subsaharienne
6 ibib.
7 ibib.
2 Fourniture d’énergie, exploitation du potentiel, solutions décentralisées.
3 www.un.org
4 Ramsès 2021 (2020), « Afrique subsaharienne : les enjeux d’une électrification durable- Se développer et résister au réchauffement », IFRI, Paris, p. 84-89.
5 https://www.ifpenergiesnouvelles.fr/article/developpement-des-energies-renouvelables-va-t-il-permettre-decollage-economique-lafrique-subsaharienne
6 ibib.
7 ibib.